Alors que le Rugby Championship bat son plein, les clubs français toujours privés des internationaux argentins retenus par Santiago Phelan, continuent de grincer des dents.
En tête de fil, Montpellier. Le club de Fabien Galthié paie, cette année encore, un lourd tribu en début de saison, se voyant privé de 6 de ses meilleurs joueurs : Augustin Creevy, Santiago Fernandez, Lucas Amorosino, Maximiliano Bustos, Juan Figallo et Martin Bustos Moyano. Le hic c’est que parmi les joueurs retenus en sélection, il y a ceux qui sont sur le terrain et qui bataillent tous les weekends contre les armadas de l’hémisphère Sud, et ceux qui sont « dans le groupe » mais qui n’ont toujours pas figuré sur une feuille de match. C’est cette deuxième catégorie qui est la cible des entraîneurs du Top 14. En début de semaine, Midi Olympique nous apprenait que le staff montpelliérain était entré en contact avec l’Argentine pour rapatrier le pilier droit Maximiliano Bustos et surtout l’ailier-buteur Martin Bustos Moyano (pour une équipe qui plafonne à 44% de réussite aux tirs au but, on comprend l’urgence). Tous deux n’ont toujours pas joué une seule minute de Rugby Championship et leur retour serait bien vu du côté d’Yves du Manoir.
A Bordeaux le problème est moins handicapant mais il demeure similaire. L’UBB aurait toutefois trouvé un accord avec la fédération argentine, et serait sur le point de faire revenir le centre Rafael Carballo. « On n’a pas la date du retour mais c’est imminent » confie Laurent Marti, le président du club. En revanche aucune information n’a filtré concernant Nicolas Sanchez.
Toujours est-il que la question des joueurs argentins dans notre Top 14 reste en suspens. Les clubs français accepteront-ils d’être privés, tous les ans, d’une partie de leurs meilleurs joueurs ? Va-t-on se diriger petit à petit vers un flux migratoire des internationaux argentins vers les provinces de l’hémisphère Sud ? Ce problème risque en tout cas d’être très prochainement débattu au sein des clubs français.
En tête de fil, Montpellier. Le club de Fabien Galthié paie, cette année encore, un lourd tribu en début de saison, se voyant privé de 6 de ses meilleurs joueurs : Augustin Creevy, Santiago Fernandez, Lucas Amorosino, Maximiliano Bustos, Juan Figallo et Martin Bustos Moyano. Le hic c’est que parmi les joueurs retenus en sélection, il y a ceux qui sont sur le terrain et qui bataillent tous les weekends contre les armadas de l’hémisphère Sud, et ceux qui sont « dans le groupe » mais qui n’ont toujours pas figuré sur une feuille de match. C’est cette deuxième catégorie qui est la cible des entraîneurs du Top 14. En début de semaine, Midi Olympique nous apprenait que le staff montpelliérain était entré en contact avec l’Argentine pour rapatrier le pilier droit Maximiliano Bustos et surtout l’ailier-buteur Martin Bustos Moyano (pour une équipe qui plafonne à 44% de réussite aux tirs au but, on comprend l’urgence). Tous deux n’ont toujours pas joué une seule minute de Rugby Championship et leur retour serait bien vu du côté d’Yves du Manoir.
A Bordeaux le problème est moins handicapant mais il demeure similaire. L’UBB aurait toutefois trouvé un accord avec la fédération argentine, et serait sur le point de faire revenir le centre Rafael Carballo. « On n’a pas la date du retour mais c’est imminent » confie Laurent Marti, le président du club. En revanche aucune information n’a filtré concernant Nicolas Sanchez.
Toujours est-il que la question des joueurs argentins dans notre Top 14 reste en suspens. Les clubs français accepteront-ils d’être privés, tous les ans, d’une partie de leurs meilleurs joueurs ? Va-t-on se diriger petit à petit vers un flux migratoire des internationaux argentins vers les provinces de l’hémisphère Sud ? Ce problème risque en tout cas d’être très prochainement débattu au sein des clubs français.
yoyo83
Ben, c'est le problème des internationnaux, soit ils sont francais , ils sont bons,et ils filent régulierement au XV de france, soit c'est des étrangers, et on nous les pique aussi.
La solution, c'est de prendre des joueurs non selectionnables, ... et de se retrouver en PRO D2.
Sérieusement, c'est par le doublage voir triplage de joueurs trés bons au meme poste qu'on peut aligner des équipes performantes tout au long de l'année, en espérant limiter au max les bléssés.
ced
behn oui, en recrutant argentins les clubs vont se tirer une balle dans le pied, à l'heure où le topXIV se resserre c'est pas vraiment le moment.