Ce dimanche, c’est le coup d’envoi non pas de la Coupe du monde de rugby, mais du Top 8 féminin. A l’instar des équipes du Top 14 ou des sélections nationales, les clubs en lice se sont préparés dans la sérénité tout l’été pour ne pas rater leur entame de championnat. Du moins, chez la plupart car du côté de l’USAP, les dernières semaines ont été compliquées à cause d’un différent de taille entre le staff et les joueuses. Il se pourrait d’ailleurs que Perpignan ne soit pas en mesure d’aligner une équipe contre Bobigny au stade Roger-Ramis ce dimanche. Plusieurs éléments menacent en effet de partir si la présidence ne rappelle pas leur ancien entraîneur Henri Sagols, parti il y a quatre ans. « On veut qu'Henri revienne et qu'il ait un vrai rôle. Mais on a rien du tout contre le staff qui a été proposé », indiquait Marine Hernandez dans L’Indépendant début septembre.
Chez l’internationale Elodie Guiglion, le discours est plus musclé : « Des gens sont arrivés au club cet été. Ils débarquent du jour au lendemain. On ne les connaît pas. » Le nouveau président, Roger Hoogland, a fait appel à Sébastian Bozzi et Patrice Druais pour entraîner l’équipe. Pour satisfaire aux doléances des joueuses, il aurait proposé à Sagols d’avoir un rôle de consultant, « Or, il veut les clés du camion. Il n’en n’est pas question. Il n’a ni l’aptitude, ni les capacités à entraîner aujourd’hui une équipe de Top 8 car il faut être diplômé d’État ». L’USAP féminin se retrouve donc dans une impasse. « Si Henri Sagols ne revient pas au club, je pars. Sans son retour, on n'y arrivera pas, » commente la joueuse de l’équipe de France Christelle Le Duff.
Comme sa coéquipière chez les Bleues, elles estiment que le club est en train de couler. Pour rappel, l’Association USAP a suspendu à titre conservatoire à la fin du mois de juillet, la convention qui autorisait le club féminin à utiliser l’appellation USAP. Alors que Roger Hoogland semblait confiant quant à la possibilité de mettre sur pied une équipe pour participer au Top 8 malgré le départ annoncé d’une vingtaine de joueuses, il se trouve que rien n’est moins sûr à cinq jours de la reprise. L’Indépendant indique qu'une équipe senior sera engagée dans le championnat de rugby à 7, tout comme il y aura au moins une équipe cadette engagée en championnat. Quid de l’équipe une ? Un entraînement est prévu ce mardi soir et le président espère y voir des joueuses. Lesquelles, conscientes de passer « peut-être pour des capricieuses », souhaitent avant tout « jouer au rugby, prendre du plaisir et gagner. Comme avant. »
Chez l’internationale Elodie Guiglion, le discours est plus musclé : « Des gens sont arrivés au club cet été. Ils débarquent du jour au lendemain. On ne les connaît pas. » Le nouveau président, Roger Hoogland, a fait appel à Sébastian Bozzi et Patrice Druais pour entraîner l’équipe. Pour satisfaire aux doléances des joueuses, il aurait proposé à Sagols d’avoir un rôle de consultant, « Or, il veut les clés du camion. Il n’en n’est pas question. Il n’a ni l’aptitude, ni les capacités à entraîner aujourd’hui une équipe de Top 8 car il faut être diplômé d’État ». L’USAP féminin se retrouve donc dans une impasse. « Si Henri Sagols ne revient pas au club, je pars. Sans son retour, on n'y arrivera pas, » commente la joueuse de l’équipe de France Christelle Le Duff.
Comme sa coéquipière chez les Bleues, elles estiment que le club est en train de couler. Pour rappel, l’Association USAP a suspendu à titre conservatoire à la fin du mois de juillet, la convention qui autorisait le club féminin à utiliser l’appellation USAP. Alors que Roger Hoogland semblait confiant quant à la possibilité de mettre sur pied une équipe pour participer au Top 8 malgré le départ annoncé d’une vingtaine de joueuses, il se trouve que rien n’est moins sûr à cinq jours de la reprise. L’Indépendant indique qu'une équipe senior sera engagée dans le championnat de rugby à 7, tout comme il y aura au moins une équipe cadette engagée en championnat. Quid de l’équipe une ? Un entraînement est prévu ce mardi soir et le président espère y voir des joueuses. Lesquelles, conscientes de passer « peut-être pour des capricieuses », souhaitent avant tout « jouer au rugby, prendre du plaisir et gagner. Comme avant. »
Crédit vidéo : Chris LeDuff
Met-Moi-Un-Bon-Caramel
C'est quoi ces entraîneurs qui débarquent pendant l'été sans se présenter non mais
ciolito
Les revendications sur l'organisation ça s'entend mais sur le staff non. On peut décider d'aller dans un club pour bosser avec un entraîneur, mais demander le changement de staff me renvoie une image trop footballistique. J'ai peut-être tort cela dit... Elles sont grandes elles doivent avoir réfléchi aux tenants et aux aboutissants mieux que je ne peu le faire de ma place.
Pat33600
Je comprends l'état d'esprit et les revendications des filles, mais ce n'est pas à elles de choisir qui les entrainera. Il y a des réglements, ils sont ce qu'ils sont, mais tant qu'ils n'ont pas été changés, on se doit de les respecter. C'est un peu comme si les joueurs du stade toulousain menaçaient de partir si Guy Novès ne revenait pas.
ced
les filles n'ont jamais eu de cadeau, on les promène de stade en stade, on change de nom, des déplacements très longs tout juste en bus, etc etc ... pour une fois qu'elles réclament un truc
ced
Le mari d' Aline, ancienne internationale de rugby et de handball
Également entraîneur des joueuses de l Usap jusqu'à peu, elles ont tout connu en partie grâce à lui
WarriusZero
Je vais poser une question qui va ptet vous sembler con mais : c'est qui Henri Sagols ????
Fidjien sous prozac
Si même les filles s'y mettent... #knysna