TOP14. ''Ce mec est un numéro 10'' : Ronan O'Gara fan de la ''reconversion'' de Thomas Ramos

On profite de cet article pour émettre cette réflexion qui met en lumière une nouvelle fois comment les sociétés libérales appellent à des schémas de pensées qui se complaisent dans la contradiction.
Ce joueur fut opposé à l'ouvreur qui partit avec bruit. Celui ci est dit comme travailleur et taiseux, il a su faire le dos rond, ce qui lui a permis de faire ce qu'il fait avec le XV de France en tant qu'ouvreur.
Tout en rapportant que le joueur a l'objectif de s'imposer comme titulaire à l'arrière du XV de France.
Pour un esprit simple, la contradiction est bloquante, par respect d'autrui, on se refuse à énoncer une telle absurdité. Là où les esprits libéralisés voient un succès du travail, le simple d'esprit y voit un échec. On est en présence d'un joueur qui travaille pour se rendre indispensable à l'arrière et qui se retrouve encensé comme il ne l'a jamais été en jouant à l'ouverture, même si on concède que ce joueur peut travailler une polyvalence, il y a un énorme problème de travail et probablement d'orientation. Comment un joueur qui travaille avec l'objectif de s'exprimer pleinement à l'arrière peut se montrer si loué en jouant à l'ouverture sans déclarer un échec du travail? C'est une des spécificités des esprits libéralisés pour qui la contradiction n'existe pas ou ne vaut même pas d'être mentionnée. Pourtant, elle est là, on a un échec flagrant du travail dont ce joueur donne l'exemple. Et ça, une fois encore, cette aptitude à la gymnastique mentale, est un produit des sociétés libérales qui démarrèrent dans la contradiction, sociétés esclavagistes qui proclamèrent comme droit universel de ne pas être mis en esclavage. Il y a un formatage culturel qui permet de se faire fi de contradictions flagrantes.