Passer de Pau à Singapour... Voilà pour le dépaysement. Du Top 14 à l'Asie, c’est l'aventure dans laquelle se lance Simon Mannix. L’une des premières langues du pays, parmi la Tamoul, le Malais et le Mandarin, est - heureusement pour le technicien néo-zélandais - l’Anglais. Dans ce pays de près de 6 millions d’habitants, quelle est la place du rugby ?
Depuis 1995, l’équipe nationale n’a jamais passé le premier tour qualificatif de la Coupe du monde. Mais le pays peut s’enorgueillir d’organiser la huitième étape de la saison 2018-2019 du World Rugby Sevens Series.
SINGAPOUR : voyage au cœur du rugby local avec le Français Pierre DaydeL’équipe nationale peut compter sur presque une dizaine de britanniques et... de Français. Simon Mannix est nommé entraîneur principal de la sélection. Il ne s’occupera pas d’ailleurs que de la sélection sénior. Sa mission : emmener l’équipe à XV au niveau supérieur, et le Sevens, à terme, en World Rugby Seven Series.
Singapour pointe à la 55ème place du classement IRB.
Simon Mannix devra améliorer ce classement. Pour cela, il a signé un contrat de trois ans et il estime d’emblée qu’il y a, à l’image des résultats du Japon, une possibilité de développement à Singapour.
lelinzhou
@ Regis Duffour
Une idée du nombre de licenciés ?