En cette journée haletante faite d'actualités brûlantes (...), nous avons décidé de faire un bond dans le passé, exactement au tout début des années 90. Nous sommes en Gironde, et plus précisément à Bègles, joyeuse bourgade connue pour... bon, pas grand chose à part son équipe de rugby, ok.
À cette époque sévissent au Stade Musard une bande de joyeux (gros) drilles, répondant au doux nom de Rapetous. Elle est composée des poètes qu'étaient (et sont toujours) Vincent Moscato (sans son micro et son casque), Serge Simon (toujours sans son micro et son casque) et Philippe Gimbert (lui ça va). Mais pas seulement ! Ce serait déconner que d'oublier Nanard Laporte, Christophe Mougeot, etc...
Venons-en au fait. En 1991, les béglais sont champions de France en ayant tordu à peu près tout ce qui s'est trouvé sur leur passage. L'année d'après c'était bien parti pour une rebelote... Grâce à quoi ? Et bien grâce à la Tortue Béglaise. Le staff du club girondin a parfaitement su utiliser la masse de son pack d'avants pour créer ce monstre redoutable, dont la raison d'être était le jeu Nord-Sud. Pour les anciens, vous voyez de quoi on parle, pour les nouveaux... Voyez-ça (et rigolez bien quoi qu'il arrive, parce que même le public de l'époque le faisait) :
Des poètes qu'on vous dit. Pas de chichis, mais connaissant les morceaux sous le maillot noir, c'est pas franchement étonnant. La belle époque que voulez vous, le bon temps...
À cette époque sévissent au Stade Musard une bande de joyeux (gros) drilles, répondant au doux nom de Rapetous. Elle est composée des poètes qu'étaient (et sont toujours) Vincent Moscato (sans son micro et son casque), Serge Simon (toujours sans son micro et son casque) et Philippe Gimbert (lui ça va). Mais pas seulement ! Ce serait déconner que d'oublier Nanard Laporte, Christophe Mougeot, etc...
Venons-en au fait. En 1991, les béglais sont champions de France en ayant tordu à peu près tout ce qui s'est trouvé sur leur passage. L'année d'après c'était bien parti pour une rebelote... Grâce à quoi ? Et bien grâce à la Tortue Béglaise. Le staff du club girondin a parfaitement su utiliser la masse de son pack d'avants pour créer ce monstre redoutable, dont la raison d'être était le jeu Nord-Sud. Pour les anciens, vous voyez de quoi on parle, pour les nouveaux... Voyez-ça (et rigolez bien quoi qu'il arrive, parce que même le public de l'époque le faisait) :
Des poètes qu'on vous dit. Pas de chichis, mais connaissant les morceaux sous le maillot noir, c'est pas franchement étonnant. La belle époque que voulez vous, le bon temps...
matabiau
J'étais dans les tribunes pour ce match là! Au match aller, les Périgourdins avaient séché Moscato par derrière, dès le coup d'envoi, un copain qui avait été surclassé pour jouer en première m'avait dit qu'on lui avait interdit de s'occuper du ballon. Après une bonne demi heure d'averses de marrons, les Béglais avaient écrasé Périgueux.
théo
Ya combien de double vitrages, de hors-jeu, de joueurs rentrant sur le côté et de joueurs qui tentent d'écrouler sans dec ? 😛
berval
A l'époque, je ne jouais déjà plus, pas le gabarit pour le rugby "moderne"...
Depuis, je fais de l'athlé mais avec des distances qui s'allongent de + en +
ced
Nono tu m'as fait mal, parce qu' "à l'époque" je jouais déjà.
quel beau sport quand même le rugby, il manque la musique de Benny Hill
berval
Les règles devaient pas être les mêmes à l'époque, au moins 3 protections illicites et 20 arrêts...
manenschaffe
J'aime cette philosophie!
kius
Et après on va nous parler de french flair et autres concours de danseuses !!!
Voilà comment l'EDF peut vaincre le sud, détroncher, broyer, humilier etc.
Après si l'on croit au super pouvoir de Trinh-Duc ou Michalak on peut toujours organiser un pélerinage à Lourdes !!!