Chacun son match ce week-end, toutes les équipes de France seront mobilisées, à commencer par celles des moins de 20 ans. Après une courte défaite face aux Irlandais à Grenoble (12-13), les protégés de Fabien Pelous voudront confirmer, voire améliorer la prestation qui leur avait permis de venir à bout des Italiens à La Voulte (19-5). Pour ce match, Karl Château, le capitaine de cette sélection et Fabien Pelous ont vite ciblé les points sur lesquels il faudra répondre présent : les rucks. L’ancien capitaine de l‘équipe de France a d’ailleurs une analyse simple sur les jeunes écossais : « Ils jouent un peu comme les grands, en déplaçant beaucoup les ballons, en ayant de bonnes attitudes sur les phases de contacts, en ne venant pas très nombreux mais en étant efficaces. » Voilà pour les forces écossaises. Du côté tricolore, il faudra surtout corriger « les transmissions de balles » lancent à l’unisson les deux intervenants. Mise en application ce soir, à 20h30 du côté de Galashiels.
Pour leurs aînés, la tâche est identifiée depuis le début du tournoi, et l’on a pu s’y attarder dès le report de France-Irlande, ou presque, puisque le Top 14 avait repris ses quelques droits restants. Du coup, Philippe Saint-André a parlé à ses hommes en conséquence, qui ont visiblement bien retenu la leçon. Julien Malzieu évoque « la difficulté de défendre pendant trois, quatre minutes », Julien Bonnaire, éminent spécialiste de la touche a ciblé « la mobilité de Gray et Hamilton qui bougent beaucoup dans l’alignement et vont très haut. Ils sont aussi très performants en contre. » L’accent a donc été mis sur la capacité des Bleus à garder le ballon et la faculté défensive des Tricolores. Et au moment de cibler les faiblesses du XV du Chardon, c’est Imanol Harinordoquy, précédé de son sélectionneur, qui évoque les problèmes de finition de la clique aux frères Lamont. L’ennui, pour le staff de l’équipe de France, réside dans la capacité à ses joueurs de tenir une telle intensité, c’est ce que répète en tous cas PSA…
Enfin, pour les filles, déjà victorieuses de leurs deux premières rencontres (32-0 contre l’Italie, 8-7 face à l’Irlande), la motivation est toute faite : le Grand Chelem encore possible. « On a pris beaucoup de repères, du fait d’avoir joué ces deux matches[…]. Mais nous avons sept filles qui intègrent le groupe cette troisième semaine… » prévient Marie-Alice Yahé, la demi de mêlée et capitaine des Bleues. La meneuse de troupes est également consciente de ne pas être tombée sur une Ecosse de grande qualité l’an passé, puisque l’équipe avait été presque entièrement renouvelée. Les Bleues s’appuieront donc sur les matches de leurs adversaires dans ce tournoi qui ont « bien accroché les Anglaises pendant 20-30 minutes » dixit MAY. Enfin, Marie-Alice fait un point météo, pour une prestation qui pourrait convaincre les chaines télévisées pour sa future reconversion. Mais qu’on se le dise, les Françaises sont ultra-favorites, qu’il pleuve, neige ou grêle.
Pour leurs aînés, la tâche est identifiée depuis le début du tournoi, et l’on a pu s’y attarder dès le report de France-Irlande, ou presque, puisque le Top 14 avait repris ses quelques droits restants. Du coup, Philippe Saint-André a parlé à ses hommes en conséquence, qui ont visiblement bien retenu la leçon. Julien Malzieu évoque « la difficulté de défendre pendant trois, quatre minutes », Julien Bonnaire, éminent spécialiste de la touche a ciblé « la mobilité de Gray et Hamilton qui bougent beaucoup dans l’alignement et vont très haut. Ils sont aussi très performants en contre. » L’accent a donc été mis sur la capacité des Bleus à garder le ballon et la faculté défensive des Tricolores. Et au moment de cibler les faiblesses du XV du Chardon, c’est Imanol Harinordoquy, précédé de son sélectionneur, qui évoque les problèmes de finition de la clique aux frères Lamont. L’ennui, pour le staff de l’équipe de France, réside dans la capacité à ses joueurs de tenir une telle intensité, c’est ce que répète en tous cas PSA…
Enfin, pour les filles, déjà victorieuses de leurs deux premières rencontres (32-0 contre l’Italie, 8-7 face à l’Irlande), la motivation est toute faite : le Grand Chelem encore possible. « On a pris beaucoup de repères, du fait d’avoir joué ces deux matches[…]. Mais nous avons sept filles qui intègrent le groupe cette troisième semaine… » prévient Marie-Alice Yahé, la demi de mêlée et capitaine des Bleues. La meneuse de troupes est également consciente de ne pas être tombée sur une Ecosse de grande qualité l’an passé, puisque l’équipe avait été presque entièrement renouvelée. Les Bleues s’appuieront donc sur les matches de leurs adversaires dans ce tournoi qui ont « bien accroché les Anglaises pendant 20-30 minutes » dixit MAY. Enfin, Marie-Alice fait un point météo, pour une prestation qui pourrait convaincre les chaines télévisées pour sa future reconversion. Mais qu’on se le dise, les Françaises sont ultra-favorites, qu’il pleuve, neige ou grêle.