A l’heure du professionnalisme et l’arrivée à outrance de joueurs étrangers dans le championnat de France, on se délecte de trouver des cas d’intégrations magnifiques de joueur. S’il en est un, qui soit adopté du côté de Toulouse, c’est bien Byron Kelleher . Ce joueur affiche un état d’esprit exceptionnel et montre à de nombreux joueurs la voie d’une bonne intégration dans le pays. Adulé pour ses performances sur le terrain, Kelleher l’est aussi pour son comportement hors du terrain.
Adopté par les Toulousains, Kelleher s’est donné pour objectif d’apprendre le Français (langue très difficile à maîtriser) comme une marque de respect pour le pays qui l’accueille et le nourrit. A travers cette magnifique interview, on ne peut qu’excuser à ce joueur hors normes de mélanger français et anglais. On ne peut s’empêcher de rire quand il évoque les spécialités Françaises qu’il adore. S’il évoque le Stade Toulousain comme une machine à gagner, on voit, par l’intermédiaire de Kelleher la différence de politique dans ce club qui paye. Les étrangers doivent se plier aux cours de Français pour conserver des valeurs essentielles au rugby comme le souligne Byron.
Tout comme Freshwater à Perpignan, Kelleher fait malheureusement office d’exception. On peut remarquer avec surprise, qu’un club comme Castres s’entraîne en Anglais… que des joueurs étrangers qui foulent les pelouses françaises depuis de longues années ne bafouillent pas un mot en Français. On se délecte de voir les joueurs parler et aimer le Français. Espérons que les clubs feront l’effort d’aider leurs étrangers à trouver la volonté de s’imprégner d’une nouvelle culture.
Adopté par les Toulousains, Kelleher s’est donné pour objectif d’apprendre le Français (langue très difficile à maîtriser) comme une marque de respect pour le pays qui l’accueille et le nourrit. A travers cette magnifique interview, on ne peut qu’excuser à ce joueur hors normes de mélanger français et anglais. On ne peut s’empêcher de rire quand il évoque les spécialités Françaises qu’il adore. S’il évoque le Stade Toulousain comme une machine à gagner, on voit, par l’intermédiaire de Kelleher la différence de politique dans ce club qui paye. Les étrangers doivent se plier aux cours de Français pour conserver des valeurs essentielles au rugby comme le souligne Byron.
Tout comme Freshwater à Perpignan, Kelleher fait malheureusement office d’exception. On peut remarquer avec surprise, qu’un club comme Castres s’entraîne en Anglais… que des joueurs étrangers qui foulent les pelouses françaises depuis de longues années ne bafouillent pas un mot en Français. On se délecte de voir les joueurs parler et aimer le Français. Espérons que les clubs feront l’effort d’aider leurs étrangers à trouver la volonté de s’imprégner d’une nouvelle culture.
leminet34
Excellent reportage, c'est bon voilà tout
Aneto
C est bon!!
Bilou
Magnifique documentaire!
clem
Déjà vu ce documentaire, mais on ne s'en lasse pas ! 🙂
snt
je l'adore!