A propos de cette affiche on se dit que les médias doivent quand même être un peu fâchés. Oui parce qu’il y a quelques années, le Stade Français partageait la domination du rugby français avec Toulouse et on a commencé à nous parler de « classico du rugby ». La capitale contre le capitole, la province contre Paris, l’imagination et les clichés ne manquaient pas pour illustrer l’affiche. Seulement depuis, le Racing Metro a fait son apparition, Max Guazzini a quitté son navire rose et le Stade Français est rentré dans le rang. Moins vendue, moins mise sur le devant de la scène, la rencontre entre les deux Stade fait néanmoins toujours son petit effet. Pour venger une appellation en voie de disparition, on va tout vous dire de ce « Stadico », rebaptisé par nos soins, joué samedi dernier, qui a dû régaler tous les amateurs de rugby...
Oui parce que dans cette rencontre on nous a servi, à vrai dire, tout ce qu’il fallait : des essais d’avants, des essais de trois-quarts, des renversements de situation, quelques décisions arbitrales litigieuses, un Novès qui râle, Bibi Auradou sur le banc, le Stade de France, un footballeur, des sauvetages, une partie de bluff, Claude François, du combat, des frères ennemis, des cartons, des Bleus, et un revenant. Alléchant non ?
Au coup de sifflet final, le Stade Français s’impose 28 à 24 sur un Stade Toulousain qui méritait peut être autre chose. Un match de très bonne facture entre deux bonnes équipes de notre championnat. Finalement le Stadico c’est presque devenu un match de Top 14 comme les autres… Presque car la rencontre accouche rarement d’une souris et qu’elle se joue devant 50 000 personnes ; et c’est peut-être ça la petite saveur en plus.
Profitez du résumé de cette rencontre 4 étoiles :
Oui parce que dans cette rencontre on nous a servi, à vrai dire, tout ce qu’il fallait : des essais d’avants, des essais de trois-quarts, des renversements de situation, quelques décisions arbitrales litigieuses, un Novès qui râle, Bibi Auradou sur le banc, le Stade de France, un footballeur, des sauvetages, une partie de bluff, Claude François, du combat, des frères ennemis, des cartons, des Bleus, et un revenant. Alléchant non ?
Au coup de sifflet final, le Stade Français s’impose 28 à 24 sur un Stade Toulousain qui méritait peut être autre chose. Un match de très bonne facture entre deux bonnes équipes de notre championnat. Finalement le Stadico c’est presque devenu un match de Top 14 comme les autres… Presque car la rencontre accouche rarement d’une souris et qu’elle se joue devant 50 000 personnes ; et c’est peut-être ça la petite saveur en plus.
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