A Toulon l’équilibre sportif est en ce moment à son apogée ou presque. De victoires retentissantes en performances appuyées, le RCT s’avance comme un candidat crédible au doublé. Ce qu’il y a de bien avec le club de la Rade c’est que quels que soient les résultats et le jeu déployé sur le terrain, en coulisse ça n’arrête jamais.
Alors que le président du club varois Mourad Boudjellal s’échangeait des amabilités avec son homologue toulousain cette semaine, Bernard Laporte évoquait lui le cas Jonny Wilkinson et Charles Berling chantait le pilou-pilou… Tout un programme.
Dernier épisode en date entre Mourad et René Bouscatel, la nouvelle déclaration du premier cité. Invité par le second à présenter ses comptes et à expliquer comment, avec un budget de 21 millions, il pouvait présenter l’effectif qui est le sien au RCT, le prince de la BD a répondu une nouvelle fois avec son ironie et son phrasé désormais légendaire : « Il veut qu’on mesure qui a la plus grande. Moi, ça ne me dérange pas. C’est fou qu’il ait pris ça au premier degré, regrettait Boudjellal au micro de RMC Sport. Je crois que René est dans le fantasme de société off-shore à l’étranger. Moi ça m’arrange parce qu’il va voir que c’est vraiment du fantasme. Je n’ai absolument aucun compte à l’étranger donc ça ne me dérange absolument pas. ».
En parallèle de cette comique passe d’armes, Bernard Laporte a évoqué de son côté la situation de Jonny Wilkinson, ouvrant la porte à une reconversion dans le staff toulonnais. "Pour le club, Jonny est une icône. Quelle que soit sa décision, il ne quittera pas le club. Il a trop de choses à apporter. En devenant entraîneur ? Il pourrait très bien animer des ateliers de jeu au pied, ce qu’il fait déjà, mais il peut faire davantage en intégrant le staff technique", a avancé le manager du RCT au micro de Var Matin.
Alors que le président du club varois Mourad Boudjellal s’échangeait des amabilités avec son homologue toulousain cette semaine, Bernard Laporte évoquait lui le cas Jonny Wilkinson et Charles Berling chantait le pilou-pilou… Tout un programme.
Dernier épisode en date entre Mourad et René Bouscatel, la nouvelle déclaration du premier cité. Invité par le second à présenter ses comptes et à expliquer comment, avec un budget de 21 millions, il pouvait présenter l’effectif qui est le sien au RCT, le prince de la BD a répondu une nouvelle fois avec son ironie et son phrasé désormais légendaire : « Il veut qu’on mesure qui a la plus grande. Moi, ça ne me dérange pas. C’est fou qu’il ait pris ça au premier degré, regrettait Boudjellal au micro de RMC Sport. Je crois que René est dans le fantasme de société off-shore à l’étranger. Moi ça m’arrange parce qu’il va voir que c’est vraiment du fantasme. Je n’ai absolument aucun compte à l’étranger donc ça ne me dérange absolument pas. ».
En parallèle de cette comique passe d’armes, Bernard Laporte a évoqué de son côté la situation de Jonny Wilkinson, ouvrant la porte à une reconversion dans le staff toulonnais. "Pour le club, Jonny est une icône. Quelle que soit sa décision, il ne quittera pas le club. Il a trop de choses à apporter. En devenant entraîneur ? Il pourrait très bien animer des ateliers de jeu au pied, ce qu’il fait déjà, mais il peut faire davantage en intégrant le staff technique", a avancé le manager du RCT au micro de Var Matin.
Enfin Charles Berling est revenu au micro de Canal + sur sa prestation lors du pilou-pilou réalisé dimanche dernier face à Sale. Une rubrique A’men’donné réservé pour l’occasion :
Crédit Vidéo : Canal + et Var Matin
Charles BERLINE
Tout ces livres (et non des BD!)autour de Berling, ça fait quand même bizarre dans un sujet traitant du RCT !