Il ne fallait sans doute pas s'attendre au match le plus spectaculaire de la Coupe du monde sur la pelouse du Sandy Park d'Exeter ce mercredi soir. Mais à leur manière, la Géorgie et la Namibie nous ont offert une rencontre assez épique avec notamment une première mi-temps qui a duré 50 minutes au lieu des 40 réglementaires et une fin de match à suspense. Heureusement diront certains puisque les deux formations ont tourné à la pause avec seulement 6 points inscrits à l'avantage des Namibiens, qui ont dû s'employer à de multiples reprises pour sauver leur ligne face aux assauts des Géorgiens.
Lesquels ont fini par marquer en début de deuxième mi-temps par l'intermédiaire de Mamuka Gorgodze (6-7), après plusieurs temps de jeu mal négociés comme ce surnombre vendangé par le Toulonnais à la 44e, puis Lasha Malaguradze (54e). Une remontée qui a relancé la partie sans pour autant y ajouter du rythme. Car en dépit des trois cartons jaunes adressés aux Namibiens et de leur large domination dans le second acte, les Lelos n'ont pas réussi à tuer le match. Pire, ils ont laissé leur adversaire recoller petit à petit au score grâce au pied et à l'essai de Theuns Kotze. Si bien qu'à la 73e minute de jeu, seul un point séparait les deux équipes.
Sur le reculoir, les coéquipiers de Gorgodze ont tout de même réussi à sécuriser la victoire (16-17) et par la même occasion leur troisième place dans la poule, synonyme de qualification directe pour la Coupe du monde 2019 au Japon. Il faudrait en effet un miracle pour que les Tonga, deux points derrière eux, battent la Nouvelle-Zélande ce vendredi et les dépassent au classement. Une belle sortie pour le pilier aux 53 sélections Davit Zirakashvili, bientôt 32 ans, qui a joué son dernier match international.
Lesquels ont fini par marquer en début de deuxième mi-temps par l'intermédiaire de Mamuka Gorgodze (6-7), après plusieurs temps de jeu mal négociés comme ce surnombre vendangé par le Toulonnais à la 44e, puis Lasha Malaguradze (54e). Une remontée qui a relancé la partie sans pour autant y ajouter du rythme. Car en dépit des trois cartons jaunes adressés aux Namibiens et de leur large domination dans le second acte, les Lelos n'ont pas réussi à tuer le match. Pire, ils ont laissé leur adversaire recoller petit à petit au score grâce au pied et à l'essai de Theuns Kotze. Si bien qu'à la 73e minute de jeu, seul un point séparait les deux équipes.
Sur le reculoir, les coéquipiers de Gorgodze ont tout de même réussi à sécuriser la victoire (16-17) et par la même occasion leur troisième place dans la poule, synonyme de qualification directe pour la Coupe du monde 2019 au Japon. Il faudrait en effet un miracle pour que les Tonga, deux points derrière eux, battent la Nouvelle-Zélande ce vendredi et les dépassent au classement. Une belle sortie pour le pilier aux 53 sélections Davit Zirakashvili, bientôt 32 ans, qui a joué son dernier match international.
UP HE GOES: A fitting send off for #GEO prop Davit Zirakashvili who played his 53rd and final Test. Farewell. https://t.co/0cHgDeKEVa
— Rugby World Cup (@rugbyworldcup) 7 Octobre 2015
Le résumé de la rencontre :
Crédit vidéo : World Rugby
MARCFANXV
Il y a un tout petit Cap que la Géorgie n'arrive pas encore à franchir....Ils jouent bcp à l'énergie, mais manquent encore parfois de Pragmatisme....J'allais dire, ce sont les derniers spécifiquement "Latins" ds l'approche des matchs...Mais Attention ! Avec les excellents résultats des U20 lors de la dernière CDM, il ne m'étonnerait guère qu'à la Prochaine CDM "des grands", ils ne viennent pas "chatouiller" certaines nations du Top10 ! En tt cas, je le souhaite.....
noComment
super ! les georgiens ont inventé une nouvelle façon de sauter en touche !!!
quelle audace jeter un pilier à l'horizontal !!! à 8 pour être sûr de réussir !!
gratteur de ballons
un match de poète, dommage que burger se soit blesser. Chapeau aux deux équipes. Quelle force pour pouvoir porter davit
Le Roi Dodo
Je me souviens d'un article très bien documenté de la Boucherie Ovalie, prouvant de manière scientifique, que Davit Zirakashvili pouvait, dans son pays, être considéré comme une belle femme... Lorsque je vois ce corps fluet, porté à bout de bras par les siens, jeté en l'air de manière si suave, je me dis que finalement Davit est effectivement une bien belle femme !