Il est fidjien, ailier, n'a que 22 ans et débarque dans le Top 14. Jusqu'ici, rien d'inhabituel tant les clubs de l'élite ont tendance à recruter des îliens à ce poste, au point d'en voir sélectionnés avec le XV de France. Mais Alipate Ratini, c'est son nom, n'est pas un fidjien comme un autre. En plus d'avoir brillé sous le maillot de son équipe nationale à 7, il peut se targuer d'être champion national... de sprint. Avec un record personnel de 10,9s (bien loin des 9''58 d'Usain Bolt), Ratini est donc le sprinteur le plus rapide de son pays. Et c'est Grenoble qui a engagé le phénomène en lui faisant signer un contrat espoir.
Alipate Ratini rejoindra l'Isère cet été et intégrera le centre de formation du club, 11e du dernier Top 14 et révélation de la première partie de saison. Grenoble comptera donc dans ses rangs un sprinteur, joueur de rugby à 7... et de rugby à XIII ! A l'image de Sonny Bill Williams, le garçon semble vouloir goûter à toutes les disciplines. Il évolue depuis 2013 aux Cronulla Sharks, une équipe de NRL basée au sud de Sydney. Après avoir disputé il y a deux ans le Championnat du monde junior avec l'équipe des Fidji.
Confronté au départ de Lucas Dupont, Juan Tuculet et Viliame Waqaseduadua, le FC Grenoble a donc suivi la mode des ailiers fidjiens en proposant à Ratini d'intégrer son centre de formation. Connaîtra-t-il la réussite de Vakatawa et autre Nakaitaci ? Une chose est sûre, le néo-grenoblois ne portera jamais le maillot de l'équipe de France puisqu'il a disputé en octobre 2012 l'étape australienne des IRB Sevens World Series avec son pays d'origine. Voilà, c'est dit : on ne risque pas de connaître un scénario à la Alex Tulou. Le recrutement de Ratini sera-t-il un coup gagnant ? Ce qui est certain, c'est que le garçon a du potentiel.
Alipate Ratini rejoindra l'Isère cet été et intégrera le centre de formation du club, 11e du dernier Top 14 et révélation de la première partie de saison. Grenoble comptera donc dans ses rangs un sprinteur, joueur de rugby à 7... et de rugby à XIII ! A l'image de Sonny Bill Williams, le garçon semble vouloir goûter à toutes les disciplines. Il évolue depuis 2013 aux Cronulla Sharks, une équipe de NRL basée au sud de Sydney. Après avoir disputé il y a deux ans le Championnat du monde junior avec l'équipe des Fidji.
Confronté au départ de Lucas Dupont, Juan Tuculet et Viliame Waqaseduadua, le FC Grenoble a donc suivi la mode des ailiers fidjiens en proposant à Ratini d'intégrer son centre de formation. Connaîtra-t-il la réussite de Vakatawa et autre Nakaitaci ? Une chose est sûre, le néo-grenoblois ne portera jamais le maillot de l'équipe de France puisqu'il a disputé en octobre 2012 l'étape australienne des IRB Sevens World Series avec son pays d'origine. Voilà, c'est dit : on ne risque pas de connaître un scénario à la Alex Tulou. Le recrutement de Ratini sera-t-il un coup gagnant ? Ce qui est certain, c'est que le garçon a du potentiel.
Ali-Papé Ratini
Espérons surtout qu'il ne soit pas une pioche de type William Ryder (Mont de Marsan), très bon à VII et médiocre à XV.
Zarathoustra
Apparemment, Grenoble a fait un joli coup...