Au terme de la rencontre entre le XV de France et l'Argentine, c'est Juan Martin Hernandez qui a reçu le trophée récompensant l'homme du match. Bien que le centre polyvalent ait réalisé une prestation solide sur la pelouse du Stade de France, certains de ses coéquipiers auraient mérité d'être dans la lumière compte tenu de leur prestation face aux Bleus. À commencer par le capitaine et talonneur, Agustin Creevy, véritable poison dans les rucks mais aussi en défense (17 plaquages), ou encore Nicolas Sanchez, bourreau des Tricolores face aux perches. Si les Argentins avaient fait de cet affrontement le rendez-vous le plus important de leur tournée, pour l'ouvreur des Pumas, c'était LE match à ne pas manquer. D'une part car l'équipe de France représentait le plus gros morceau après l'Ecosse et l'Italie, et surtout parce qu'il avait ici l'occasion de se montrer sous son meilleur jour face à l'un de ses anciens coéquipiers, Camille Lopez, lequel l'avait supplanté à l'UBB. À ce titre, l'Argentin considère que s'il n'a pas percé en France, c'est parce qu'on ne lui en a pas donné la chance. « Je n'ai jamais pu enchaîner deux rencontres consécutives. À Bordeaux, on ne me faisait pas confiance. Or, j'ai besoin d'être rassuré en permanence, pour faire de bons matchs », confie le numéro 10 au Midi Olympique. Il n'a en effet été titulaire qu'à 8 reprises sur 22 matchs joués entre 2011 et 2014.
Une confiance que lui a accordée son sélectionneur Daniel Hourcade malgré le revers concédé contre les Écossais, et la courte victoire en Italie. Placé derrière des avants ultra agressifs, il a ainsi pu laisser libre cours à son talent. Avec deux pénalités et trois drops au compteur face aux Français, Sanchez a cette fois-ci éclipsé son vis-à-vis. Bien évidemment cela n'est pas dû au hasard. Le néo-Toulonnais a ainsi passé des heures à étudier Lopez à la vidéo. L'objectif des Pumas était de le priver de solutions à la main mais aussi au pied avec des montées rapides de tous les côtés. Pour sa part, Sanchez avait une consigne, « se tenir prêt, dès lors que nos porteurs de balle approchaient l'en-but français » pour claquer un drop, explique son entraîneur. Si bien qu'il a quelque peu délaissé le jeu courant, ne faisant d'ailleurs que 13 passes contre le double pour son homologue. Hourcade avait cependant prévu le coup en titularisant deux ouvreurs, Juan Martin Hernandez et Marcelo Bosch au centre, pour le décharger au niveau de l'animation offensive. Cela ne l'a pas empêché de porter le ballon à quelques reprises et de jouer savamment au pied par-dessus le rideau défensif bleu avec une certaine réussite.
Autre domaine où le joker médical de Frédéric Michalak au RCT avait à cœur de se montrer, la défense. Il ne s'est d'ailleurs pas dérobé avec 12 plaquages, soit autant que les meilleurs plaqueurs du XV de France (Vahaamahina, Le Roux) et plus que Dusautoir. Son coéquipier Marcos Ayerza a été plus qu'impressionné, malgré quatre ratés : « Ses trois drops sont anecdotiques, pour moi. Nico a surtout défendu comme un chien enragé pendant quatre-vingt minutes. C'est d'ailleurs lui, avec l'aide de plusieurs coéquipiers, qui a empêché Scott Spedding de marquer dans les arrêts de jeu. » En somme, un match parfait à retrouver dans cette vidéo.
Une confiance que lui a accordée son sélectionneur Daniel Hourcade malgré le revers concédé contre les Écossais, et la courte victoire en Italie. Placé derrière des avants ultra agressifs, il a ainsi pu laisser libre cours à son talent. Avec deux pénalités et trois drops au compteur face aux Français, Sanchez a cette fois-ci éclipsé son vis-à-vis. Bien évidemment cela n'est pas dû au hasard. Le néo-Toulonnais a ainsi passé des heures à étudier Lopez à la vidéo. L'objectif des Pumas était de le priver de solutions à la main mais aussi au pied avec des montées rapides de tous les côtés. Pour sa part, Sanchez avait une consigne, « se tenir prêt, dès lors que nos porteurs de balle approchaient l'en-but français » pour claquer un drop, explique son entraîneur. Si bien qu'il a quelque peu délaissé le jeu courant, ne faisant d'ailleurs que 13 passes contre le double pour son homologue. Hourcade avait cependant prévu le coup en titularisant deux ouvreurs, Juan Martin Hernandez et Marcelo Bosch au centre, pour le décharger au niveau de l'animation offensive. Cela ne l'a pas empêché de porter le ballon à quelques reprises et de jouer savamment au pied par-dessus le rideau défensif bleu avec une certaine réussite.
Autre domaine où le joker médical de Frédéric Michalak au RCT avait à cœur de se montrer, la défense. Il ne s'est d'ailleurs pas dérobé avec 12 plaquages, soit autant que les meilleurs plaqueurs du XV de France (Vahaamahina, Le Roux) et plus que Dusautoir. Son coéquipier Marcos Ayerza a été plus qu'impressionné, malgré quatre ratés : « Ses trois drops sont anecdotiques, pour moi. Nico a surtout défendu comme un chien enragé pendant quatre-vingt minutes. C'est d'ailleurs lui, avec l'aide de plusieurs coéquipiers, qui a empêché Scott Spedding de marquer dans les arrêts de jeu. » En somme, un match parfait à retrouver dans cette vidéo.
rugtoro
c'est un excellent joueur qui a mis du combat dans son jeu , les derniers mois avec les Pumas
feffe
ET IL VIENT A TOULON !!!
mAIS QU IL RESTE EN ARGENTINE IL VA RIEN APPRENDRE CHEZ NOUS!!!!!
Marc Lièvre Entremont
On s'extasie sur les placages de Le Roux et Dusautoir alors que leur 9 fait aussi bien, en claquant en plus 15 points.
Aaaah on est pas français pour rien !
CASTRES OLYMPIQUE
et quel gros match!!!