La France ne sera pas championne du monde... de rugby à 7. Du moins, pas cette année. Après un parcours quasi-parfait au 1er tour (24-7 face à la Tunisie ; 21-17 face à l'Espagne ; 17-17 face à l'Australie), les hommes de Frédéric Pomarel ont échoué en quart de finale face au Kenya, 5e nation mondiale. Une défaite 24 à 19 dans les prolongations qui fait mal, tant les Bleus furent en position de remporter ce match et ainsi intégrer le dernier carré de la compétition...
Dès le début du match, Jean-Baptiste Gobelet plonge dans l'en-but après un mouvement initié par Terry Bouhraoua et prolongé par Jean-Marcellin Buttin. Mais l'avantage est de courte durée puisque Collins Injera laisse parler ses cannes pour filer à l'essai, transformé (5-7). Manoël Dall'Igna redonne l'avantage aux Bleus avant qu'un doublé assassin d'Humphrey Kayange donne un avantage de sept points aux Africains (12-19). La France s'en remet alors à Paul Albaladejo qui envoie son pays en prolongation. Malheureusement, la star du Kenya et futur Lyonnais Willy Ambaka inscrit un essai synonyme de défaite dans cette mort subite.
« Il faut passer par ces étapes pour comprendre ce qu'est le 7, pour grandir et pour pouvoir gagner ces matchs-là, confie Frédéric Pomarel. Je suis vraiment déçu parce qu'on a toutes les armes. Des fois, tu peux être battu, dépassé, pas dans le coup. Là on est dans le coup, on applique le projet à 99% du temps. [On a fait] des petites erreurs de choix qui nous privent d'une victoire qui n'aurait pas été volé. » Vincent Inigo abonde dans le sens de son coach : « C'est une grosse déception, surtout la mort subite. On avait toutes nos chances. On a pu rivaliser contre le Kenya qui est une nation importante dans le rugby à 7. Ça peut basculer dans les deux sens.... » Pendant trois jours, les Bleus nous ont fait vibrer et ont prouvé que si du chemin reste à parcourir, ils avaient les capacités pour lutter avec les plus grands. A l'avenir, le club France ne pourra que progresser et pourrait bénéficier de l'apport régulier de jeunes quinzistes à la recherche de temps de jeu comme Jean-Marcellin Buttin. Rio 2016, on arrive.
Crédit vidéo : FFR
Dès le début du match, Jean-Baptiste Gobelet plonge dans l'en-but après un mouvement initié par Terry Bouhraoua et prolongé par Jean-Marcellin Buttin. Mais l'avantage est de courte durée puisque Collins Injera laisse parler ses cannes pour filer à l'essai, transformé (5-7). Manoël Dall'Igna redonne l'avantage aux Bleus avant qu'un doublé assassin d'Humphrey Kayange donne un avantage de sept points aux Africains (12-19). La France s'en remet alors à Paul Albaladejo qui envoie son pays en prolongation. Malheureusement, la star du Kenya et futur Lyonnais Willy Ambaka inscrit un essai synonyme de défaite dans cette mort subite.
« Il faut passer par ces étapes pour comprendre ce qu'est le 7, pour grandir et pour pouvoir gagner ces matchs-là, confie Frédéric Pomarel. Je suis vraiment déçu parce qu'on a toutes les armes. Des fois, tu peux être battu, dépassé, pas dans le coup. Là on est dans le coup, on applique le projet à 99% du temps. [On a fait] des petites erreurs de choix qui nous privent d'une victoire qui n'aurait pas été volé. » Vincent Inigo abonde dans le sens de son coach : « C'est une grosse déception, surtout la mort subite. On avait toutes nos chances. On a pu rivaliser contre le Kenya qui est une nation importante dans le rugby à 7. Ça peut basculer dans les deux sens.... » Pendant trois jours, les Bleus nous ont fait vibrer et ont prouvé que si du chemin reste à parcourir, ils avaient les capacités pour lutter avec les plus grands. A l'avenir, le club France ne pourra que progresser et pourrait bénéficier de l'apport régulier de jeunes quinzistes à la recherche de temps de jeu comme Jean-Marcellin Buttin. Rio 2016, on arrive.
Crédit vidéo : FFR