Après avoir vu cette vidéo, vous ne porterez plus jamais le même regard sur les ailiers. Le nom d'Alistair Murdoch ne vous dit sans doute pas grand-chose, mais au début des années 90, cet ailier australien a porté le maillot des Wallabies. Mais seulement à deux reprises. Il faut dire qu'à cette époque, la concurrence était rude avec notamment des joueurs comme Campese, Joe Roff, Ben Tune et Damian Smith. De fait, Murdoch n'a joué que face à la France à Bordeaux en 93 et au Pays de Galles trois ans plus tard avec notamment un essai à la clé. Autant dire qu'il n'a pas forcément marqué l'histoire des Wallabies. Mais si aujourd'hui ce quadragénaire continue à faire parler de lui, c'est grâce à son physique. Contrairement à une majeure partie des sportifs de haut niveau, et notamment les rugbymen, Alistair Murdoch n'a pas hérité d'une surcharge pondérale au niveau du ventre. Il a bien pris 10 kilos de plus depuis sa retraite en 2007, mais 10 kilos de muscle.
Déjà excellent en développé-couché lorsqu'il jouait au rugby (il battait régulièrement les premières lignes) ce dernier est devenu un crack de la force athlétique. « J'ai toujours su que j'étais assez fort. Je ne voulais pas prendre du poids et j'avais besoin d'avoir un objectif pour m'entraîner. J'ai décidé de me frotter à des gens qui pensaient comme moi. » Avec un total combiné de 722.5kg (230kg au squat, 222.5kg au développé-couché et 270kg au soulevé de terre), il a décroché en novembre dernier sa troisième couronne de champion du monde. « Cela demande beaucoup de travail car il faut être bon dans les trois exercices. » Une performance d'autant plus remarquable, qu'il s'entraîne en-dehors de ses heures de travail de conseiller financier. Bel exemple.
Déjà excellent en développé-couché lorsqu'il jouait au rugby (il battait régulièrement les premières lignes) ce dernier est devenu un crack de la force athlétique. « J'ai toujours su que j'étais assez fort. Je ne voulais pas prendre du poids et j'avais besoin d'avoir un objectif pour m'entraîner. J'ai décidé de me frotter à des gens qui pensaient comme moi. » Avec un total combiné de 722.5kg (230kg au squat, 222.5kg au développé-couché et 270kg au soulevé de terre), il a décroché en novembre dernier sa troisième couronne de champion du monde. « Cela demande beaucoup de travail car il faut être bon dans les trois exercices. » Une performance d'autant plus remarquable, qu'il s'entraîne en-dehors de ses heures de travail de conseiller financier. Bel exemple.
ced
en Australie la culture du corps (et du dopage) n'existe pas, c'est bien connu.
Arthur Dent
j'aimerai savoir s'il court toujours aussi vite 😊 ça a du le ralentir de prendre tous ces muscles 😊
JoeMbu
Mais de rien 🙂.
TPhib
C'est bizarre car il fait pourtant partie des "drug free powerlifters". Je partais donc du principe qu'il ne prenait pas ce type de produit. Le terme "drug" doit seulement faire référence aux produits dopants du style stéroïde. Je vais modifier. Merci à toi.
JoeMbu
Sur son twitter, contrairement à vos assertions, il reconnaît prendre de la créatine et des protéines...
Que sont donc des compléments alimentaires pour le Rugbynistère ?
Grisou
En meme temps son nom sonne un peu écossais... Il aurait deux ou trois ancêtres lanceurs de troncs que ca m'étonnerait qu'à moitié !
papounet19
S'il s'était entrainé comme ça à l'époque il aurait pu être titulaire, voir assommer un concurrent direct
darkodonnie
miam miam il est addict
curepipe83
@Ethan-57
J'étais limite du pouce rouge mais finalement il est vert. On comprend aussi l'humour sur la rade 🙂
09581a
Bof... Pas aussi impressionante que celle de Serge Blanco. (Oui, facile, je sais 😛 )
ethan-57
Houla, un rugbyman retraité et en forme, et pas encore dans l'équipe du RCT, Boudjellal perd la main (ou le rythme 😛 )