Si vous suivez attentivement la Premiership, vous ne serez pas surpris de lire ces lignes : Danny Cipriani est sûrement dans la forme de sa vie, au point que son nom revienne avec insistance lorsque le squad du XV de la Rose est annoncé. Mais si pour vous, le demi d'ouverture anglais est toujours ce joueur sulfureux qui n'a jamais confirmé le talent qu'on lui prêtait à ses débuts, il faut vous faire une raison. Depuis son retour au pays, Cipriani a changé. En bien.
Flashback : En 2007, le jeune arrière n'a que 19 ans lorsqu'il soulève la H Cup avec son club formateur, les London Wasps. C'est l'époque où il porte encore un casque et où toute l'Angleterre, comme à chaque fois qu'un nouveau talent débarque, se met à rêver du « nouveau Wilkinson ». Capable d'évoluer à l'ouverture, Cipriani est convoqué pour préparer le Mondial 2007 mais ne connaîtra sa première sélection que lors du Tournoi des VI Nations 2008. Et puis... le joueur se perd. Entre grave blessure, mauvaises performances, embrouille avec Martin Johnson et unes des magazines people avec son ex Kelly Brook, l'Anglais déjoue et choisit l'exil en Australie, chez les Melbourne Rebels. S'il enchaîne enfin les matchs, les mauvais résultats de la franchise et le mal du pays le font revenir à Sale. C'est là qu'un bus le renverse...
Mais visiblement, cet accident a renforcé le joueur, qui s'est recentré sur le rugby. Titulaire indiscutable avec les Sharks, il retrouve son niveau, l'expérience en plus. Si l'Angleterre ne manque pas de talents entre Owen Farrell et George Ford, Stuart Lancaster n'hésite pas à le rappeler l'été dernier pour la tournée en Nouvelle-Zélande. Pas convoqué cet automne, Cipriani n'a pourtant pas dit adieu à la Coupe du monde. Et s'il continue à enchaîner les gestes de classe, il devrait donner un sacré mal de crâne à son sélectionneur. Face à Newcastle ce week-end (victoire 18-13), l'ouvreur de Sale a été à l'origine de l'essai de Johnny Leota en relançant de ses 22m avec un coup de pied par-dessus la défense, avant de récupérer le cuir et de fixer le dernier défenseur. Quand on vous disait qu'il était dans la forme de sa vie...
Découvrez l'essai de Leota ainsi que les plus beaux essais du week-end en Premiership.
Crédit vidéo : Premiership Rugby
Flashback : En 2007, le jeune arrière n'a que 19 ans lorsqu'il soulève la H Cup avec son club formateur, les London Wasps. C'est l'époque où il porte encore un casque et où toute l'Angleterre, comme à chaque fois qu'un nouveau talent débarque, se met à rêver du « nouveau Wilkinson ». Capable d'évoluer à l'ouverture, Cipriani est convoqué pour préparer le Mondial 2007 mais ne connaîtra sa première sélection que lors du Tournoi des VI Nations 2008. Et puis... le joueur se perd. Entre grave blessure, mauvaises performances, embrouille avec Martin Johnson et unes des magazines people avec son ex Kelly Brook, l'Anglais déjoue et choisit l'exil en Australie, chez les Melbourne Rebels. S'il enchaîne enfin les matchs, les mauvais résultats de la franchise et le mal du pays le font revenir à Sale. C'est là qu'un bus le renverse...
Mais visiblement, cet accident a renforcé le joueur, qui s'est recentré sur le rugby. Titulaire indiscutable avec les Sharks, il retrouve son niveau, l'expérience en plus. Si l'Angleterre ne manque pas de talents entre Owen Farrell et George Ford, Stuart Lancaster n'hésite pas à le rappeler l'été dernier pour la tournée en Nouvelle-Zélande. Pas convoqué cet automne, Cipriani n'a pourtant pas dit adieu à la Coupe du monde. Et s'il continue à enchaîner les gestes de classe, il devrait donner un sacré mal de crâne à son sélectionneur. Face à Newcastle ce week-end (victoire 18-13), l'ouvreur de Sale a été à l'origine de l'essai de Johnny Leota en relançant de ses 22m avec un coup de pied par-dessus la défense, avant de récupérer le cuir et de fixer le dernier défenseur. Quand on vous disait qu'il était dans la forme de sa vie...
Découvrez l'essai de Leota ainsi que les plus beaux essais du week-end en Premiership.
Crédit vidéo : Premiership Rugby
Jaune à l\'eau mou
Le "😜etit par dessus" de Cipriani ou le coup de pied à ras de terre de Hook, c'est parfait pour battre une défense à plat. C'est beau quand c'est bien fait (et réciproquement 😉 ) et surtout lorsqu'il y a un essai au bout !
FDB
Le coup d’œil (et de pied) de Hook sur le dernier essai est extra aussi.
Querrebleu
Vu la taille des enbuts, les joueurs anglais doivent plus perdre leurs dents contre les panneaux publicitaires que dans le jeu...
Sinon joli coup de pied, ils jouent très bien le 2 contre 3 derrière!
CASTRES OLYMPIQUE
jolie coup de pattes