Le Samoan Johnny Leota n'est peut-être pas un mauvais bougre dans la vie de tous les jours, mais lorsqu'il rentre sur le terrain il oublie totalement les bonnes manières et la bien séance pour devenir un joueur rugueux. Quitte à dépasser parfois les limites de la règle comme au moment où il a envoyé l'ailier international anglais Chris Ashton par-dessus les panneaux publicitaires (le rêve de beaucoup de supporters) en octobre dernier. En général, Leota parvient à canaliser son énergie en désossant ses adversaires. C'est d'ailleurs un autre joueur de l'Angleterre, en l'occurrence le jeune ouvreur de Bath George Ford, qui en a fait l'expérience en novembre lors d'un savoureux match entre les Samoa et le XV de la Rose. Solide en défense, il l'est aussi lorsqu'il s'agit d'attaquer la ligne.
Il y a une semaine face aux Chiefs d'Exeter en Premiership, le centre de Sale a en effet fait parler toute sa puissance avec une charge dévastatrice en fin de partie. Servi par son capitaine Dan Braid derrière une mêlée, le Samoan a tout d'abord fait exploser trois plaquages tout en jonglant et tournant sur lui-même. Il a ensuite poursuivi sa course en feintant un crochet avant de poser son adversaire avec un bon coup d'épaule orienté. Une action qui aurait pu être encore meilleure si Leota avait enlevé ses œillères et servi Cueto qui beuglait à sa droite.
En bonus, retrouvez la grosse percussion de Thomas Waldrom sur l'ancien joueur de Biarritz Magnus Lund.
Il y a une semaine face aux Chiefs d'Exeter en Premiership, le centre de Sale a en effet fait parler toute sa puissance avec une charge dévastatrice en fin de partie. Servi par son capitaine Dan Braid derrière une mêlée, le Samoan a tout d'abord fait exploser trois plaquages tout en jonglant et tournant sur lui-même. Il a ensuite poursuivi sa course en feintant un crochet avant de poser son adversaire avec un bon coup d'épaule orienté. Une action qui aurait pu être encore meilleure si Leota avait enlevé ses œillères et servi Cueto qui beuglait à sa droite.
En bonus, retrouvez la grosse percussion de Thomas Waldrom sur l'ancien joueur de Biarritz Magnus Lund.