VIDEO - Pro D2. Les consignes en anglais niveau 6e d'Arlettaz (USAP) nous vendent du rêve
L'entraîneur de l'USAP s'est essayé à l'anglais avec plus ou moins de succès.
Patrick Arlettaz nous a gratifiés de quelques mots en anglais, lors de la victoire des siens face à Colomiers.

Tout roule pour l'USAP en cette saison de ProD2. Leader avec huit points d'avance sur Vannes son dauphin, qui compte un match en moins, les Catalans s'affirment peu à peu comme l'épouvantail de l'antichambre du Top 14. Jeudi soir, dans un choc de haut de tableau, ces derniers se sont offerts sur leur pelouse le scalp de Colomiers, quatrième et sérieux candidat aux phases finales. Seule ombre au tableau pour les pensionnaires d'Aimé Giral, ce point de bonus offensif délaissé dans les derniers instants, alors qu'ils avaient globalement maîtrisé le match (28-12). 

Durant cette rencontre, une scène amusante captée par les caméras a attiré l'attention des observateurs assidus de Pro D2. Alors que l'on joue la 54e minute de jeu, Patrick Arlettaz, l'un des entraîneurs de l'USAP reprochait visiblement à son équipe de trop jouer dans son camp, et précisait que le but était de terminer derrière l'en-but adverse. S'adressant à un joueur anglophone de l'effectif, celui-ci s'est essayé à la langue de Shakespeare. Ce qui a donné lieu à une phrase culte, très approximative, avec un accent qui nous rappelle nos bonnes années de lycées. ''We have to end there. We play to much there. It's ok ?'', peut on entre autre entendre.''A little good, a little bad'' : l'interview bientôt mythique de Matthis Lebel après la victoire des Bleuets [VIDEO]''A little good, a little bad'' : l'interview bientôt mythique de Matthis Lebel après la victoire des Bleuets [VIDEO] 

Un épisode qui n'est pas sans nous rappeler les pépites de Mathis Lebel après une victoire acquise face aux Fidji avec les moins de 20 ans et son ''a little good, a little bad'', ou Romain N'tamack après le succès des Bleus à Cardiff et le fameux ''Ouhla, do you repeat the question ?''. Louis Picamoles n'est pas en reste également, lui qui avait réalisé une interview mythique sous le maillot de Northampton. On pourra cependant souligner l'effort de Patrick Arlettaz, quand un certain Sébastien Chabal aurait rétorqué : ''We are in France. We speak French''. 

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  • papidol
    14467 points
  • il y a 3 ans

Jusqu'à présent je comprenais seulement l'anglais de Chirac maintenant celui d'Arlettaz.

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