Comme une grande majorité des rugbymen, Rabah Slimani, pilier du Stade Français et de l'équipe de France, n'a pas oublié le club de son enfance, ses anciens coéquipiers et ses entraîneurs. Des années extrêmement importantes dans la carrière d'un joueur et d'un homme. Et c'est d'autant plus vrai lorsque l'on grandit dans un environnement où les opportunités sont plus rares qu'ailleurs. Néanmoins, elles existent et il faut savoir les saisir comme l'a fait Rabah du côté de Sarcelles, en banlieue parisienne. « Ça s'est un vraiment fait par hasard. Un collègue de mon petit frère qui jouait ici (à l'AAS Sarcelles rugby) nous a ramenés pour essayer lors d'un tournoi de fin de saison. »
Il se souvient de l'ambiance, des copains, « du goûter d'après-match » et de l'inquiétude de sa mère parce qu'il rentrait tard. « Il s'est rendu compte que ça se passait très bien et qu'on s'occupait bien de son fils ». Très vite, Rabah Slimani a su où il voulait aller. À force de travail, il a été repéré par le Stade Français où il sera formé avant d'intégrer l'équipe première en 2009. Il jouera également trois rencontres de H Cup et la Coupe du monde avec les U20 cette même année. Devenu un titulaire indiscutable au sein du club de la capitale, il est sélectionné pour la première fois en équipe de France en 2013 face aux All Blacks. Une réussite dont il est fier et qui montre qu'avec « de l'envie et du travail, on peut y arriver. »
Crédit vidéo : Canal+
Il se souvient de l'ambiance, des copains, « du goûter d'après-match » et de l'inquiétude de sa mère parce qu'il rentrait tard. « Il s'est rendu compte que ça se passait très bien et qu'on s'occupait bien de son fils ». Très vite, Rabah Slimani a su où il voulait aller. À force de travail, il a été repéré par le Stade Français où il sera formé avant d'intégrer l'équipe première en 2009. Il jouera également trois rencontres de H Cup et la Coupe du monde avec les U20 cette même année. Devenu un titulaire indiscutable au sein du club de la capitale, il est sélectionné pour la première fois en équipe de France en 2013 face aux All Blacks. Une réussite dont il est fier et qui montre qu'avec « de l'envie et du travail, on peut y arriver. »
Crédit vidéo : Canal+
PEPOYE
ha les goûters d 'apres match, nous on avait du saucisson de la fabrique locale qui était sponsor du club, hé ben c'est là où on a compris l'utilité du protège dent tellement il était dur ce machin
Zakgabr
Les batailles de polochons du côté de Gujan-Mestras, les réunions d'après-match au club-house, le fameux quatre-quarts partagé entre copains avec le chocolat chaud... Ca berce une enfance et une adolescence
Michoko
Et vous avez pas eu les "gâteaux pour chien" avec écrit dessus "je t'aime", "mon meilleur copain"... Un truc à t'étouffer que tu étais obligé de pousser au Pchitt Limonade...
Kyb
Oui, le goûter d'après-match... et le mag' gratuit de la Fédé avec l'inoubliable Mézidugnac et les concours de 20 pages...
Piekx
Du quatre-quarts avec de la sous marque de Banga.
Et à partir des minimes pâté de campagne avec de la 33 export.
Fredohandy
Tout à fait d'accord avec toi Cyp!
Je me rappelle encore du goût de la barre de chocolat bon marché bien calé dans son morceau de pain...
Cyp
Le fameux "goûter d'après-match" ... personne ne l'a oublie celui la 😊
#ValeursRugbystique