À un an de la Coupe du monde, les All Blacks ont montré une fois de plus aux dépens de l'Argentine dans le cadre du Rugby Championship qu'ils étaient les grands favoris pour décrocher un troisième titre, et surtout le deuxième d'affilé. Ce qui n'est jamais arrivé auparavant. Une hypothèse qui prend des airs d'affirmation au fil des mois tant les Néo-Zélandais survolent les débats depuis leur titre acquis en 2011 avec une seule défaite (38-21 contre l'Angleterre en décembre 2012) et un match nul (12-12 face à l'Australie en 2014) en 36 rencontres, ainsi qu'un troisième Rugby Championship de rang. L'édition 2014 n'est d'ailleurs pas encore terminée, mais grâce à leurs précédents résultats, ils ne pourront pas être détrônés. On peut cependant compter sur eux pour ne rien lâcher face aux Springboks, qui les ont accrochés Wellington 14 à 10. L'an passé, le choc entre Boks et Blacks à l'Elis Park avait donné lieu à l'un des plus beaux matchs de la décennie. On en attend pas moins ce dimanche à Johannesburg.
Sur le pont depuis le 16 août, les Néo-Zélandais ont eu le temps de gommer les imperfections du début de compétition et de revoir leurs gammes. Désormais, l'entente est parfaite, et le week-end dernier, ce sont les Argentins qui en ont fait les frais. À La Plata, les Pumas ont fait l'expérience de ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle en terme d'attaque avec de la précision dans la passe, du soutien omniprésent et une rapidité d'exécution qui ne cessera jamais de nous émerveiller. Symbole de cette magie black, l'essai de l'arrière Israel Dagg à la 24e minute de jeu.
Tout est parti d'un ballon arraché à Juan Imhoff au centre du terrain. En position de défense, les coéquipiers de McCaw, responsable de la perte de balle argentine, ont immédiatement basculé sur l'offensive. Le premier centre Malakai Fekitoa est ici déterminent puisqu'il crée le décalage en fixant deux défenseurs. Macome en retard pour boucher le trou, fait que Manuel Montero se retrouve alors face à trois adversaires et se fait parfaitement fixer par Conrad Smith qui donne à Ben Smith. Ce dernier rentre dans le terrain et croise devant Dagg tout en lui laissant le ballon en suspens. Une contre-attaque éclair et limpide.
Sur le pont depuis le 16 août, les Néo-Zélandais ont eu le temps de gommer les imperfections du début de compétition et de revoir leurs gammes. Désormais, l'entente est parfaite, et le week-end dernier, ce sont les Argentins qui en ont fait les frais. À La Plata, les Pumas ont fait l'expérience de ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle en terme d'attaque avec de la précision dans la passe, du soutien omniprésent et une rapidité d'exécution qui ne cessera jamais de nous émerveiller. Symbole de cette magie black, l'essai de l'arrière Israel Dagg à la 24e minute de jeu.
Tout est parti d'un ballon arraché à Juan Imhoff au centre du terrain. En position de défense, les coéquipiers de McCaw, responsable de la perte de balle argentine, ont immédiatement basculé sur l'offensive. Le premier centre Malakai Fekitoa est ici déterminent puisqu'il crée le décalage en fixant deux défenseurs. Macome en retard pour boucher le trou, fait que Manuel Montero se retrouve alors face à trois adversaires et se fait parfaitement fixer par Conrad Smith qui donne à Ben Smith. Ce dernier rentre dans le terrain et croise devant Dagg tout en lui laissant le ballon en suspens. Une contre-attaque éclair et limpide.
Kyb
NotaBene (Pas à Bénédicte...) : ils les ont croqué...