À l'été 2014, Brice Dulin a quitté son sud-ouest natal pour la capitale en signant au Racing-Métro pour deux saisons. Un changement radical d'environnement pour l'arrière du XV de France. Passé par Agen (2009-2012) puis Castres (2012-2014), il a chaque fois été titré lors de sa première année : champion de Pro D2 en 2010, champion de Top 14 en 2013. En sera-t-il de même avec le club francilien ? Toujours est-il que celui qui a été élu révélation de l’année 2011-2012 lors de la Nuit du rugby, avait envie de se « remettre en danger » et de se tester dans un tout autre cadre de vie sportif mais également personnel. Le but, passer un cap et devenir plus performant « mais sans non plus tout remettre en question ». Le choix du Racing n'est d'ailleurs pas anodin, puisque certains joueurs du CO ont également fait le chemin avant lui (Ducalcon) sans oublier Antonie Claassen, son coéquipier à Castres et au CO, qui a lui aussi choisi de rejoindre le club francilien cet été.
Mais ce qui surtout pesé dans la balance, c'est la présence de Laurent Travers et Laurent Labit, ses anciens entraîneurs dans le Tarn, qui l'avaient déjà fait venir à Castres en provenance du SUA. « Cela a joué, avoue-t-il via francetvsport. Je n'allais pas dans l'inconnue totale. Cela me permettait d'avoir une adaptation beaucoup plus rapide, ne serait-ce qu'au niveau du jeu. » S'il s'est rapidement adapté au jeu du Racing, en s'imposant à l'arrière comme il avait pu le faire à Agen ou à Castres, il a également adopté la vie parisienne sans problème, non avoir amené dans ses bagages un peu de sa région natale : son amour pour la pelote basque (plusieurs fois champions de France chez les jeunes) et son caractère de compétiteur comme en témoigne ce reportage de Canal +. Un attitude qui lui permet d'être un des meilleurs à son poste au niveau international.
Mais ce qui surtout pesé dans la balance, c'est la présence de Laurent Travers et Laurent Labit, ses anciens entraîneurs dans le Tarn, qui l'avaient déjà fait venir à Castres en provenance du SUA. « Cela a joué, avoue-t-il via francetvsport. Je n'allais pas dans l'inconnue totale. Cela me permettait d'avoir une adaptation beaucoup plus rapide, ne serait-ce qu'au niveau du jeu. » S'il s'est rapidement adapté au jeu du Racing, en s'imposant à l'arrière comme il avait pu le faire à Agen ou à Castres, il a également adopté la vie parisienne sans problème, non avoir amené dans ses bagages un peu de sa région natale : son amour pour la pelote basque (plusieurs fois champions de France chez les jeunes) et son caractère de compétiteur comme en témoigne ce reportage de Canal +. Un attitude qui lui permet d'être un des meilleurs à son poste au niveau international.