Après la très faible performance de l'Aviron Bayonnais face au Racing-Métro (27-10), on peut s'attendre à ce que les vacances des Basques soient studieuses. Face à une formation privée de douze de ses internationaux, ces derniers ont en effet été pris dans tous les compartiments du jeu et surtout dans le combat. D'où une partie en forme d'attaque-défense qui a rapidement tourné à l'avantage des locaux. Car qui dit défense dit plaquage. Les Bayonnais se sont pourtant envoyés avec plus de 220 actes défensifs, en deuxième ligne Dewald Senekal et Pelu Taele-Pavihi ont terminé la rencontre avec 21 plaquages, alors que Jean Monribot et Clement Otazo ont fait mieux avec 24. Soit plus que toute l'équipe du Racing (64). Mais les pensionnaires de Colombes ont cependant réussi à franchir à 39 reprises avec une percée dès l'entame de Benjamin Lapeyre qui a débouché sur la pénalité de Machenaud. Les choses se sont compliquées au quart d'heure alors qu'Henry Chavancy a une nouvelle fois mis en évidence les errances défensives des visiteurs (10-0).
Sous pression face aux vagues successives d'attaque adverses (198 courses contre 68), les Bayonnais ont logiquement été pénalisés. Et Maxime Machenaud ne s'est ainsi pas privé pour faire grossir l'écart avant et après la pause jusqu'à porter le score à 22 à 3, Bustos Moyano ayant marqué sur pénalité à la demi-heure. Une avance suffisante qui a permis au Racing-Métro de contrôler le second acte alors que le talonneur Anthony Etrillard réduisait la marque à la 53e (22-10). C'est finalement Marc Andreu qui a mis un point final à la rencontre et scellé la victoire des siens suite à une nouvelle prise d'intervalle d'Adrien Planté à la 73e. « Dès l'entame, l'équipe a tenté de mettre beaucoup de rythme à la rencontre. Nous devions être agressifs, conquérants et mettre à mal les Bayonnais sur chaque impact. Je regretterai simplement notre léger déchet dans la finition. Car il y avait probablement la place pour inscrire un ou deux essais de plus, samedi soir », commentait Camille Gérondeau dans le Midi Olympique.
Crédit : Racing Métro 92
Sous pression face aux vagues successives d'attaque adverses (198 courses contre 68), les Bayonnais ont logiquement été pénalisés. Et Maxime Machenaud ne s'est ainsi pas privé pour faire grossir l'écart avant et après la pause jusqu'à porter le score à 22 à 3, Bustos Moyano ayant marqué sur pénalité à la demi-heure. Une avance suffisante qui a permis au Racing-Métro de contrôler le second acte alors que le talonneur Anthony Etrillard réduisait la marque à la 53e (22-10). C'est finalement Marc Andreu qui a mis un point final à la rencontre et scellé la victoire des siens suite à une nouvelle prise d'intervalle d'Adrien Planté à la 73e. « Dès l'entame, l'équipe a tenté de mettre beaucoup de rythme à la rencontre. Nous devions être agressifs, conquérants et mettre à mal les Bayonnais sur chaque impact. Je regretterai simplement notre léger déchet dans la finition. Car il y avait probablement la place pour inscrire un ou deux essais de plus, samedi soir », commentait Camille Gérondeau dans le Midi Olympique.
Crédit : Racing Métro 92
ced
c'est un paris perdu cette histoire de musique c'est pas possible.
Thibault je t'aurai.
TPhib
C'est peut-être le même qu'à l'USAP, il faudra mener une enquête 😊
timtim
Heu, le stagiaire, il va continuer longtemps à nous mettre de la daube en guise de musique ?