Pour le FCG, la saison 2014-2015 est celle de la confirmation. Maintenu de justesse l’an dernier, le club isérois a opéré de nombreux changements durant l’intersaison avec le départ de plusieurs cadres et la mise en place d’un nouveau plan de jeu. Après trois journées de championnat force est de constater que tout fonctionne à merveille. Les Grenoblois ont en effet ramené deux bonus défensifs de leurs deux déplacements difficiles à Clermont et à Montpellier. Deux matchs à l’extérieur qui auraient même pu se solder par des victoires. Face à l’UBB au Stade des Alpes, ils n’ont pas fait dans la demi-mesure avec 5 essais marqués pour un troisième bonus, cette fois-ci offensif. Trois bonus en trois journées, c’est presque autant que sur l’ensemble de l’exercice précédent où les hommes de Fabrice Landreau n’en avaient glané que 5. Ce qui leur avait d’ailleurs porté préjudice au moment de faire les comptes en fin de saison.
Grenoble semble enfin avoir retiré son étiquette de promu. On en veut pour preuve sa capacité à envoyer du jeu et à marquer avec ses ¾. Sans doute encore trop formaté Pro D2, le FCG avait jusqu’alors tendance à s’appuyer uniquement sur ses avants pour prendre le score. Si les gros gardent bien évidemment une place prépondérante dans le jeu grenoblois, ce sont les arrières qui capitalisent. Sur les 9 essais inscrits par les Isérois depuis le début de la saison, 6 sont arrivés suite à des mouvements au large. Voire même du bout de l’attaque des Rouge et Bleu puisque c’est l’ailier Alipate Ratini qui en comptabilise le plus (5). Grâce à des avants performants et mobiles comme Alexandre et l’excellent Rory Grice, le FCG propose désormais un jeu rapide avec des ballons qui sortent vite pour un Charl McLeod précieux dans l’animation. L’ancien racingman Jonathan Wisniewski n’est également pas étranger dans la bonne tenue de l’attaque du FCG avec des passes précises qui font souvent la différence. Cependant, ne lui demandez pas d’en faire les yeux fermés.
Crédit vidéo : FC Grenoble Rugby
Malgré tout ces changements opérés durant l’intersaison avec notamment le déménagement des rencontres au Stade des Alpes, il y a en un qui reste fidèle à lui-même : Julien Caminati. Avant le match contre l’UBB, l'arrière polyvalent s’est essayé à 60 mètres, et comme souvent, il n'a pas manqué sa cible.
Crédit vidéo : FC Grenoble Rugby
Grenoble semble enfin avoir retiré son étiquette de promu. On en veut pour preuve sa capacité à envoyer du jeu et à marquer avec ses ¾. Sans doute encore trop formaté Pro D2, le FCG avait jusqu’alors tendance à s’appuyer uniquement sur ses avants pour prendre le score. Si les gros gardent bien évidemment une place prépondérante dans le jeu grenoblois, ce sont les arrières qui capitalisent. Sur les 9 essais inscrits par les Isérois depuis le début de la saison, 6 sont arrivés suite à des mouvements au large. Voire même du bout de l’attaque des Rouge et Bleu puisque c’est l’ailier Alipate Ratini qui en comptabilise le plus (5). Grâce à des avants performants et mobiles comme Alexandre et l’excellent Rory Grice, le FCG propose désormais un jeu rapide avec des ballons qui sortent vite pour un Charl McLeod précieux dans l’animation. L’ancien racingman Jonathan Wisniewski n’est également pas étranger dans la bonne tenue de l’attaque du FCG avec des passes précises qui font souvent la différence. Cependant, ne lui demandez pas d’en faire les yeux fermés.
Crédit vidéo : FC Grenoble Rugby
Malgré tout ces changements opérés durant l’intersaison avec notamment le déménagement des rencontres au Stade des Alpes, il y a en un qui reste fidèle à lui-même : Julien Caminati. Avant le match contre l’UBB, l'arrière polyvalent s’est essayé à 60 mètres, et comme souvent, il n'a pas manqué sa cible.
Crédit vidéo : FC Grenoble Rugby