Samedi prochain, pour le dernier match de sa tournée estivale, le XV de France affrontera une nouvelle fois les All Blacks. Après deux défaites (13-23 ; 0-30), Philippe Saint-André a décidé de changer plus de la moitié de son équipe. Au total, pas moins de huit nouveaux joueurs débuteront la rencontre. Parmi les nouveaux arrivants, Rémi Talès. L'ouvreur du Castres Olympique sera titulaire pour la première fois chez les Bleus: « Cette semaine, on a essayé de travailler les choses qui n'avaient pas fonctionné sur les deux premiers matchs. J'espère qu'on sera encore mieux en place samedi et qu'on arrivera à rivaliser face aux Blacks. »
Justement que faut-il travailler pour pouvoir rivaliser face aux champions du monde ? La conquête et surtout la touche, déficiente à Christchurch. Damien Chouly, titulaire en 7, confirme : « Toute cette semaine, ça a été le maître mot devant. Il faut essayer d'avoir plus de ballons pour les mettre à mal. Sur le dernier match, on a manqué de repères et de timing. On ne va rien révolutionner mais simplement s'appliquer sur les gestes simples pour être plus efficace. » Benjamin Kayser sera-t-il la solution tant attendue pour régler ce problème de la touche ? Le talonneur de l'ASM sera titulaire à New Plymouth. Il revient lui aussi sur ce début de semaine compliqué : « La vidéo a fait mal à la tête même si on joue les champions du monde qui ont une efficacité, un sang-froid et un instinct de tueur exceptionnels. » Pour lui, les All Blacks sont clairement au-dessus : « On est là pour apprendre, pour mûrir. L'équipe de France a progressé entre le 1er et le 2e test. »
Cantonné à un rôle de réserviste depuis le début du mois de juin, Brice Dulin est également de retour dans le XV de départ. Pour le récent champion de France, il n'y a plus rien à perdre. Il faut se lâcher : « On sent que c'est la fin, donc on a envie de produire un bon match. […] On veut montrer que les Blacks ne sont pas invincibles » Alors, les Blacks sont-ils invincibles ? Pour prouver le contraire, les Bleus ne devront pas rééditer la performance de la semaine dernière...
Crédit vidéo : FFR
Justement que faut-il travailler pour pouvoir rivaliser face aux champions du monde ? La conquête et surtout la touche, déficiente à Christchurch. Damien Chouly, titulaire en 7, confirme : « Toute cette semaine, ça a été le maître mot devant. Il faut essayer d'avoir plus de ballons pour les mettre à mal. Sur le dernier match, on a manqué de repères et de timing. On ne va rien révolutionner mais simplement s'appliquer sur les gestes simples pour être plus efficace. » Benjamin Kayser sera-t-il la solution tant attendue pour régler ce problème de la touche ? Le talonneur de l'ASM sera titulaire à New Plymouth. Il revient lui aussi sur ce début de semaine compliqué : « La vidéo a fait mal à la tête même si on joue les champions du monde qui ont une efficacité, un sang-froid et un instinct de tueur exceptionnels. » Pour lui, les All Blacks sont clairement au-dessus : « On est là pour apprendre, pour mûrir. L'équipe de France a progressé entre le 1er et le 2e test. »
Cantonné à un rôle de réserviste depuis le début du mois de juin, Brice Dulin est également de retour dans le XV de départ. Pour le récent champion de France, il n'y a plus rien à perdre. Il faut se lâcher : « On sent que c'est la fin, donc on a envie de produire un bon match. […] On veut montrer que les Blacks ne sont pas invincibles » Alors, les Blacks sont-ils invincibles ? Pour prouver le contraire, les Bleus ne devront pas rééditer la performance de la semaine dernière...
Crédit vidéo : FFR
Kad Deb
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39695 pointsIl y a un problème de com' récurrent avec l'EdF : ça doit faire près de 15 ans qu'elle est en "reconstruction" si on suit le discours des sélectionneurs successifs... :/
Linkounay
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24198 pointsJ'aime pas trop le discours général de l'équipe de France, comme quoi on est la pour apprendre, pour mûrir, qu'on joue la meilleure équipe du monde et que donc c'est normal de perdre. Bordel, c'est l'équipe de France, pas un club de Fédérale !
C'est ce genre de discours qui fait qu'on est les éternels outsiders, capable des plus beaux exploits comme des plus lamentables défaites. Le jour où on assumera notre statut on sera champion du monde.