Trélissac et Bergerac en Fédérale 1, le CAP et Belvès en Fédérale 2, Sarlat, Lalinde, Mussidan en Fédérale 3. Voire Vergt, Nontron ou Le Bugue à l'échelon du dessous : la Dordogne est une terre de rugby. Longtemps, le CA Périgueux y a régné en maître. Mais en 2015, les ennuis commencent : le club est épinglé à cause d’un gros déficit. Sanction immédiate : rétrogradation en Fédérale 3. Suivent deux saisons où le CAP domine son sujet, mais n’est pas autorisé à monter, la DNACG s’y opposant.
Rugby amateur : Jacques Delmas de retour... en Fédérale 2 ?L’année dernière, les pensionnaires du stade Francis Rongieras obtiennent enfin l’accord de la DNACG. Cette saison, le CAP termine troisième de la poule 8 (derrière Issoire et Limoges)... mais est interdit de participation aux phases finales. Il n’empêche, le club voit grand pour la saison prochaine. Avec Jacques Delmas à sa tête, rejoint par Benjamin Bagate, deux techniciens chevronnés arrivent, à l'instar d'un contingent de recrues toutes estampillées Fédérale 1 et espoirs de l’élite. Si le CAP devrait s’illustrer au cours de l’exercice 2019/2020, l’incertitude plane toujours sur l’autorisation délivrée par la DNACG. Autre question : le département pourra-t-il supporter trois clubs en Fédérale 1 ?
Alors on parle - ou on reparle - de fusion en Dordogne. Dans les colonnes de Sud Ouest, on apprend qu'il existe des échanges réguliers entre le CA Périgourdin et Trélissac (4ème du groupe 1, 8ème de finale du Challenge Yves du Manoir). « Les discussions sur la fusion se font. Cela dépend de la volonté des hommes à la tête des clubs. On pousse dans ce sens-là », déclare Christelle Boucaud, vice-présidente du Conseil départemental chargée des sports. On notera les propos sibyllins de Francis Christmann, adjoint aux sports à la mairie de Trelissac, qui conclue ainsi : « Pour se marier, il faut être deux... »
Même si la volonté départementale de doter la Dordogne d’une équipe de haut niveau existe, le mystère demeure sur la position de « ceux qui peuvent », à Trelissac aussi bien qu’au CAP.
Rugby Amateur - Trélissac, l'ascension de Maxence Dessoudeix et d'Enzo Kralfa
Clocherdu24
Sarlat en fédéral 2 🙂
duodumat
Toujours difficiles les fusions !
Les supporters d'un club n'aiment pas trop partager les honneurs ou les dépits selon le cas, chacun les prend pour soi ou en rend les "autres responsables".
Il faut une vraie "communion" d'idées et d'espoirs communs, construites depuis longtemps. Sinon cela donne une ambiance AB-BO.
Ghy Nofèros
Honnêtement j'en viens et même si les guéguerres existent , il y a vraiment moyen de faire une équipe commune en senior qui pourrait exister à terme en prod2
Rchyères
Ils en ont pas marre avec ces fusions .... Où est l'intérêt de détruire deux clubs juste pour qu'un ersatz joue à un niveau légèrement supérieur . Un club c'est important , ça représente beaucoup pour des personnes quelque soit son niveau , l'important est de défendre ses couleurs à son niveau
Placeb35
Pour être économiquement viable au haut niveau, il faut qu'il fussionne en sénior pour créer une équipe élite régional, mais que les clubs gardent leurs identités avec les catégories jeunes et des équipes réserves en sénior, cela serait une solution envisageable
spir
Le prédizan du BO aurait pas mieux dit !
Ou celui du Racing !
cahues
Aldigé pensait réaliser la meme chose avec son BO, mais trop tard le voisin Bayonnais est en top 14.
No2
Aldige penserait surtout faire une salle de spectacle comme son copain lorenzetti... du coup top 14 pro d2 tant que mylen remplit la salle...