AMATEUR. Déjà (très) costaud, cet ambitieux club de Nationale veut s’équiper comme en Top 14
Oui, Orléans rêve en (très) grand. Screenshot : RC Orléans
''Ce club, à notre niveau, j'ai l'impression que c’est l’Amérique'', nous confiait en début de saison un joueur de Nationale 2. Oui, Orléans rêve en (très) grand.

Mais où s’arrêtera-t-il ? Demi-finaliste de Fédérale 1 aux moyens conséquents l’an passé, on pensait que le RC Orléans rentrerait dans le rang en Nationale 2, cette saison.

Mais malgré un changement de staff et grâce à un recrutement fort solide dont le Fidjien Ilikena Bolakoro était la tête d’affiche, le club phare du Loiret a réalisé une première partie de saison tout bonnement excellente.

Si bien qu’à la mi-saison, Orléans culmine à la 2ᵉ place de sa poule, un tout petit point derrière Rennes, ogre de la division, et 12 unités devant son premier poursuivant, le Servette de Genève.

Un stade 15 000 places ?

Un club très ambitieux, qui doit déjà prendre ses quartiers dans le plus gros stade de la ville, celui de La Source (7 500 places), à compter de l’été prochain. Pour y cohabiter avec l’US Orléans, club de foot de la ville actuellement très bien engagé en National (3ᵉ division), puisque 2ᵉ après 12 journées.

Mais les présidents de ces deux clubs pleins de projets auraient une tout autre ambition, informe la République du Centre. Selon elle, les dirigeants d’Orléans rugby et foot travaillent sur la possibilité de construire un tout nouveau stade de 15 000 places. Avec un important parking attenant, un espace partenaires moderne, une zone de commerce et pourquoi pas d’autres installations qui dynamiseraient encore la ville.

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Un projet commun entre Cyril Courtin (USO) et Didier Bouriez (RCO), qui permettrait de coller encore plus avec les ambitions des deux clubs. À savoir celui de la Ligue 2 pour le premier, et de la ProD2 d'ici à 2030 pour le second.

Même si en rugby, cela équivaudrait déjà à des équipements dignes du Top 14…

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Je leur souhaite de réussir. Mais méfiance, Orléans, et son proche voisin Tours, ancien pensionnaire de ProD2, sont des habitués des grandes ambitions qui finissent en dépôt de bilan et en retour en fédérale 3.
C'est d'ailleurs un refrain un peu trop entendu dans le nord de la France (Lille, Rouen, Tours, Strasbourg sont passés par là, et j'en oublie)

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