Après sa sanction, Joe Marler souhaite arrêter sa carrière
Marler pourrait ne pas continuer le rugby.
Après ses 10 semaines de suspension, Joe Marler se questionne sur la suite à donner à sa carrière. Arrêt ou dernière année ?

Il est l'un des joueurs le plus controversé, mais adoré des fans de rugby. Pourquoi ? Parce qu'il incarne l'humour malgré ses frasques. Lors du dernier match du Tournoi des 6 Nations opposant l'Angleterre au Pays de Galles, Joe Marler a été cité pour ce geste qui a fait couler tant d'encre. Il a pincé les parties génitales du capitaine gallois Alun Wyn Jones. Le comité de discipline a décidé de le suspendre 10 semaines pour ce geste contre l'esprit sportif en "saisissant, tordant ou serrant les parties génitales d'un adversaire"

Le joueur aurait pu écoper de 12 semaines de suspensions, mais ses remords et le bon sens du joueur ont réduit la sanction à 9 semaines. Malheureusement, son casier disciplinaire a fait qu'une semaine supplémentaire a été rajoutée. L'incident a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux, si bien que le joueur (pourtant très présent) a désactivé ses comptes. Mike Brown a défendu son ancien coéquipier, accusant le Pays de Galles d'en avoir trop fait en conférence de presse d'après-match, obligeant le comité à statuer. 

Mais ces 10 semaines poussent le joueur à s'éloigner du sport qui l'a construit, nous rapporte le Daily Mail. On se souvient de sa retraite internationale en 2018, qui n'a pas tenu très longtemps avec la blessure de Mako Vunipola avant la Coupe du monde au Japon. Son retour sur le devant de la scène avait été monumental, Marler devenant le choix numéro 1 d'Eddie Jones, poussant Ellis Genge sur le banc des remplaçants. 

L'épidémie de coronavirus et la suspension des championnats a permis au pilier de réfléchir sur la suite à donner à sa carrière. Il reste encore une année de contrat avec les Harlequins pour Joe Marler, mais le Daily Mail affirme qu'il n'est pas revenu au club depuis le Tournoi des 6 Nations. Aujourd'hui, le pilier se questionne sur son envie de revenir sur le devant de la scène publique. 

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En Marler, c est déjà le défendre. Désolé je tiens un sacré rhubes...

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