Le demi de mêlée australien des London Wasps, Nic Berry a été contraint de raccrocher les crampons, à l’âge de 28 ans, pour des raisons médicales. Suite à de trop nombreuses commotions cérébrales, le joueur, en accord avec un spécialiste, a en effet choisi de mettre un terme à sa carrière.
L’ancien joueur du Racing Metro, qui avait rejoint le club londonien en 2010, s’est montré très touché sur le site d'ESPN : "C'est avec une extrême tristesse que j'ai été forcé de me retirer d'un sport que j'aime. En tant que joueurs, nous savons que les retraites forcées par les blessures sont la réalité de ce sport. Il m'est encore difficile de croire que j'ai joué mon dernier match. Le rugby a été une partie importante de ma vie et je suis fier d'avoir eu la chance de jouer pour certains clubs".
Le problème des commotions cérébrales chez les joueurs de rugby est une question récurrente. Des joueurs comme Benson Stanley, ancien All-Black actuellement à Clermont, ou Berrick Barnes, international australien, ont également failli arrêter récemment leur carrière de rugbyman professionnel pour les mêmes raisons. Face à ces cas qui se multiplient, l’IRB a mis en place il y a quelques jours un nouveau système de détection des commotions cérébrales chez le joueur. On espère que ce changement de règles permettra de mieux sauvegarder la santé des joueurs et d’éviter ce genre de retraite anticipée.
L’ancien joueur du Racing Metro, qui avait rejoint le club londonien en 2010, s’est montré très touché sur le site d'ESPN : "C'est avec une extrême tristesse que j'ai été forcé de me retirer d'un sport que j'aime. En tant que joueurs, nous savons que les retraites forcées par les blessures sont la réalité de ce sport. Il m'est encore difficile de croire que j'ai joué mon dernier match. Le rugby a été une partie importante de ma vie et je suis fier d'avoir eu la chance de jouer pour certains clubs".
Le problème des commotions cérébrales chez les joueurs de rugby est une question récurrente. Des joueurs comme Benson Stanley, ancien All-Black actuellement à Clermont, ou Berrick Barnes, international australien, ont également failli arrêter récemment leur carrière de rugbyman professionnel pour les mêmes raisons. Face à ces cas qui se multiplient, l’IRB a mis en place il y a quelques jours un nouveau système de détection des commotions cérébrales chez le joueur. On espère que ce changement de règles permettra de mieux sauvegarder la santé des joueurs et d’éviter ce genre de retraite anticipée.