Selon le site internet ESPN SCRUM, le 2ème ligne australien Dan Vickerman, a décidé mardi, de mettre un terme à sa carrière à la suite d’une blessure de fatigue contractée à la jambe après le mondial 2011.
A l’âge de 33ans, l’homme aux 3 Coupes du Monde (2003, 2007, 2011) décide donc de raccrocher les crampons après avoir porté 63 fois le maillot des Wallabies, depuis ses débuts contre la France en 2002. Le joueur des Warataths, passé par les Brumbies et Northampton en Angleterre, avait déjà subi une opération à une jambe, dans le but de participer à sa troisième et dernière Coupe du Monde. Cette volonté de toujours figurer dans le gotha mondial est soulignée par l'actuel coach des Wallabies, Robbie Deans : « La capacité qu’il a eu à revenir en forme, tant physiquement que mentalement, pour affronter les meilleurs joueurs de la planète, c’est une belle démonstration de son caractère et de son dévouement ».
Ce grand monsieur du rugby australien et du rugby mondial terminera avec ces mots : « D’avoir eu le privilège de représenter mon pays, c’est quelque chose que je n’ai jamais considéré comme acquis, pour moi chaque rencontre que j’ai disputé était spéciale ». Un bel exemple à suivre pour les générations futures...
A l’âge de 33ans, l’homme aux 3 Coupes du Monde (2003, 2007, 2011) décide donc de raccrocher les crampons après avoir porté 63 fois le maillot des Wallabies, depuis ses débuts contre la France en 2002. Le joueur des Warataths, passé par les Brumbies et Northampton en Angleterre, avait déjà subi une opération à une jambe, dans le but de participer à sa troisième et dernière Coupe du Monde. Cette volonté de toujours figurer dans le gotha mondial est soulignée par l'actuel coach des Wallabies, Robbie Deans : « La capacité qu’il a eu à revenir en forme, tant physiquement que mentalement, pour affronter les meilleurs joueurs de la planète, c’est une belle démonstration de son caractère et de son dévouement ».
Ce grand monsieur du rugby australien et du rugby mondial terminera avec ces mots : « D’avoir eu le privilège de représenter mon pays, c’est quelque chose que je n’ai jamais considéré comme acquis, pour moi chaque rencontre que j’ai disputé était spéciale ». Un bel exemple à suivre pour les générations futures...