Les clubs japonais ont décidément de l’appétit : le club des Panasonic Wildknights souhaiterait en effet s’attacher les services de… Sonny Bill Williams ! Le club japonais a fait au joueur une proposition financière mirobolante, deux fois supérieure aux offres des clubs du sud, pour un contrat de deux ans.
Bien que le montant n’ait pas été dévoilé, il s’agit du plus gros contrat jamais proposé à un joueur par un club japonais. Il dépasserait donc celui du Springbok Jacques Fourie qui touchait 1,1 millions de dollars par an. C’est d’ailleurs pour remplacer ce dernier, parti chez les Kobelco Steelers, que les Panasonic espèrent recruter Sonny Bill Williams.
Une telle recrue permettrait au club, finaliste l’an dernier de la Top League, de réaliser beaucoup plus d’entrées au stade la saison prochaine et de nourrir de belles ambitions sportives. Mais l’avenir du All Black est toujours incertain, un retour au rugby à XIII ayant aussi été évoqué. Cependant, la visite au Japon de l’agent du joueur Khoder Nasser font penser que les arguments financiers des Panasonic Wildknights ne laissent pas Sonny Bill Williams insensible.
Bien que le montant n’ait pas été dévoilé, il s’agit du plus gros contrat jamais proposé à un joueur par un club japonais. Il dépasserait donc celui du Springbok Jacques Fourie qui touchait 1,1 millions de dollars par an. C’est d’ailleurs pour remplacer ce dernier, parti chez les Kobelco Steelers, que les Panasonic espèrent recruter Sonny Bill Williams.
Une telle recrue permettrait au club, finaliste l’an dernier de la Top League, de réaliser beaucoup plus d’entrées au stade la saison prochaine et de nourrir de belles ambitions sportives. Mais l’avenir du All Black est toujours incertain, un retour au rugby à XIII ayant aussi été évoqué. Cependant, la visite au Japon de l’agent du joueur Khoder Nasser font penser que les arguments financiers des Panasonic Wildknights ne laissent pas Sonny Bill Williams insensible.