La rétrogradation de Bourgoin en Fédérale 1 a été accueillie avec tristesse par le monde du rugby français, qu’on soit supporter, ou pas, qu’on soit ancien joueur, ou pas. Oui, car tous vous le diront, le CSBJ est une institution du rugby hexagonal. Toulouse pourrait-il se passer de Florian Fritz ou Yann David ? Que ferait Clermont sans Morgan Parra, Julien Bonnaire ou Julien Pierre ? Le Stade Français pourra-t-il remonter la pente sans son leader Pascal Papé ? Et les exemples comme ça sont nombreux…
Le dernier témoignage en date est celui de Neil Briggs. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais le talonneur anglais de 27 ans avait choisi l’an dernier de rejoindre les Ciel et Grenat en Pro D2 alors qu’il était capitaine des Sale Sharks. Un véritable engagement auprès du club que l’intéressé a malheureusement dû stopper net lors de la relégation administrative à l’échelon inférieur, signant du même coup chez les London Welsh, promu en Premiership. Dans une interview accordée à la BBC, Briggs a tenu à rendre hommage à son ancien club : « Bourgoin est un endroit spécial, unique dans le paysage du rugby français, j’ai passé là-bas de supers moments. […] J’ai connu une belle expérience là-bas et je recommanderai à n’importe qui de tenter l’aventure. ». Le talonneur confie qu’il a beaucoup appris au contact de notre championnat « notamment en mêlée fermée » et qu’il est désormais prêt à transmettre tout son savoir.
De toute évidence l’esprit de la Berjallie a encore frappé, faisant de Neil Briggs un nouvel amoureux du club mais qui, comme beaucoup d’autres, va aller s’épanouir et s'exporter loin de l’Isère.
Le dernier témoignage en date est celui de Neil Briggs. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais le talonneur anglais de 27 ans avait choisi l’an dernier de rejoindre les Ciel et Grenat en Pro D2 alors qu’il était capitaine des Sale Sharks. Un véritable engagement auprès du club que l’intéressé a malheureusement dû stopper net lors de la relégation administrative à l’échelon inférieur, signant du même coup chez les London Welsh, promu en Premiership. Dans une interview accordée à la BBC, Briggs a tenu à rendre hommage à son ancien club : « Bourgoin est un endroit spécial, unique dans le paysage du rugby français, j’ai passé là-bas de supers moments. […] J’ai connu une belle expérience là-bas et je recommanderai à n’importe qui de tenter l’aventure. ». Le talonneur confie qu’il a beaucoup appris au contact de notre championnat « notamment en mêlée fermée » et qu’il est désormais prêt à transmettre tout son savoir.
De toute évidence l’esprit de la Berjallie a encore frappé, faisant de Neil Briggs un nouvel amoureux du club mais qui, comme beaucoup d’autres, va aller s’épanouir et s'exporter loin de l’Isère.
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voilà un mec qui reconnais le bon club formateur qu'est leCSBJ merci à lui