En affirmant mardi que le Racing Metro avait payé trois internationaux fidjiens pour les conserver durant la période de coupe du Monde, Simon Mannix pouvait se douter du tremblement de terre qui allait suivre. Depuis deux jours, les réactions fusent et la lumière va certainement devoir être faîte rapidement sur cette affaire qui secoue le monde du rugby.
Selon l’ancien adjoint de Pierre Berbizier, Jone Qovu, Sireli Bobo et Josh Matavesi auraient en effet refusé l’invitation de leur sélection nationale, qui souhaitait les emmener à la dernière coupe du Monde en Nouvelle-Zélande, pour des raisons très floues. En somme Mannix dénonce un système de pots-de-vin qu’aurait mis en place le club francilien pour conserver quelques forces vives. Une compensation financière contre un refus de sélection ? Si les faits sont avérés, les sanctions envers le Racing se devraient d’être exemplaires.
Sur ce dossier brûlant, les premiers à monter au créneau sont évidemment les membres de la fédération fidjienne de rugby. Dans un communiqué, le porte-parole de la FRU a affirmé que le président de la fédération, Manasa Barivilala, actuellement en Europe avec la sélection nationale, devrait en fin de semaine entamer une action auprès de l’IRB pour que lumière soit faite sur la situation. De son côté, l’instance suprême du rugby mondial a tenu à réagir en insistant sur les lois qui régissent le fonctionnement des organes rugbystiques. La liberté du joueur doit primer sur toute autre considération. A ce titre le syndicat des joueurs Provale a tenu à faire part de « sa plus vive indignation si de tels faits étaient avérés » tout en ajoutant que « ces agissements seraient en totale contradiction avec les règlements internationaux, et qu’ils traduiraient un irrespect total de l’éthique sportive et des valeurs de notre sport de la part des dirigeants du Racing-Métro 92. ».
La bombe lâchée par Mannix continue également de délier les langues puisque Nicky Little, numéro 10 de l’équipe fidjienne pendant plus de dix ans, a avoué que certains joueurs îliens étaient régulièrement mis au placard par leur club lorsqu’ils acceptaient de rejoindre leur squad. Des comportements indignes des valeurs de l’ovalie qui commencent à être étalés au grand jour. Compensation financière, chantage, primauté au club forcée par les dirigeants, l’IRB n’a désormais plus le choix, le linge sale va devoir être lavé.
Selon l’ancien adjoint de Pierre Berbizier, Jone Qovu, Sireli Bobo et Josh Matavesi auraient en effet refusé l’invitation de leur sélection nationale, qui souhaitait les emmener à la dernière coupe du Monde en Nouvelle-Zélande, pour des raisons très floues. En somme Mannix dénonce un système de pots-de-vin qu’aurait mis en place le club francilien pour conserver quelques forces vives. Une compensation financière contre un refus de sélection ? Si les faits sont avérés, les sanctions envers le Racing se devraient d’être exemplaires.
Sur ce dossier brûlant, les premiers à monter au créneau sont évidemment les membres de la fédération fidjienne de rugby. Dans un communiqué, le porte-parole de la FRU a affirmé que le président de la fédération, Manasa Barivilala, actuellement en Europe avec la sélection nationale, devrait en fin de semaine entamer une action auprès de l’IRB pour que lumière soit faite sur la situation. De son côté, l’instance suprême du rugby mondial a tenu à réagir en insistant sur les lois qui régissent le fonctionnement des organes rugbystiques. La liberté du joueur doit primer sur toute autre considération. A ce titre le syndicat des joueurs Provale a tenu à faire part de « sa plus vive indignation si de tels faits étaient avérés » tout en ajoutant que « ces agissements seraient en totale contradiction avec les règlements internationaux, et qu’ils traduiraient un irrespect total de l’éthique sportive et des valeurs de notre sport de la part des dirigeants du Racing-Métro 92. ».
La bombe lâchée par Mannix continue également de délier les langues puisque Nicky Little, numéro 10 de l’équipe fidjienne pendant plus de dix ans, a avoué que certains joueurs îliens étaient régulièrement mis au placard par leur club lorsqu’ils acceptaient de rejoindre leur squad. Des comportements indignes des valeurs de l’ovalie qui commencent à être étalés au grand jour. Compensation financière, chantage, primauté au club forcée par les dirigeants, l’IRB n’a désormais plus le choix, le linge sale va devoir être lavé.
6592
Sa femme pose souvent la question à Berbizier et Lorrenzetti :°D
soundgarden
pourquoi MANNIX lâche t'il la "😜urée" maintenant....?
nath_du_67
il y a une chose que je ne comprend pas : soit les déclarations sont fausses et mannix va se faire taper sur les doigts, soit elles sont vraies, dans quel cas mannix est impliqué, et va se faire taper sur les doigts... il est un peu con ou... ?
6592
Si cette affaire vraie, clairement c'est pas joli joli de la part du Racing.
Mais ce qui me frappe le plus, ce sont les joueurs : s'asseoir sur l'honneur National pour une poignée de dollars, c'est plutôt triste que scandaleux.
peyo.cassin
Le grand débalage de simon manix est à gerber. Le type se permet de cracher dans la soupe alors qu'il a peut etre un role important dans l'affaire, si celle ci se démontre réelle. Sa sent l'odeur de la rancoeur et de l'amertume. Quel besoin y a t il à débaler sur la place publique les affaires de ses anciens employeurs si ce n'est de les couler.
D'autre part la gestion de l'éffectif des équipe pendant les rencontres internationale pousse certain club à piller les petites fédération de leur joueurs. Si les faits sont réels ils vont obliger les clubs et la l'irb à mettre le nez dans un paquet "d'arrangement" ou certains joueurs privilégient leur club.
ce n'est que le début..........