Demain, l’Union Bordeaux-Bègles recevra Perpignan dans un match sans enjeu. Mais il en aurait pu être autrement, si les deux équipes n’avaient pas réussi à assurer leur maintien en Top 14 avant la dernière journée. Une chance pour Marc Delpoux, l’entraîneur de l’UBB, qui sera la saison prochaine à la tête de l’effectif catalan.
L’ancien capitaine de l’USAP s’est confié dans le Midi Olympique et a esquissé les grandes lignes de sa futur politique en tant que manager du club. Il avoue tout d’abord qu'il ne pouvait refuser l'offre que lui ont faite les dirigeants de l'USAP d'entraîner le club : « L’USAP avait tout pour me plaire. La mariée était trop belle… », se justifie Delpoux. Au-delà de cette métaphore matrimoniale, Delpoux a des idées bien définies quant au projet de jeu qu’il veut mettre en œuvre la saison prochaine, même si cette dernière risque d’être une « année de transition ». « Les résultats de ces six dernières années me donnent raison et je crois en ce rugby de mouvement. A Perpignan, je veux partager cette base avec tout le club, solliciter tout le monde : les entraîneurs des équipes jeunes interviendront lors de l’entraînement du lundi après-midi, Manny Edmonds apportera ses conseils pour les Skills, Didier Sanchez pourra intervenir pour la mêlée… […] La recherche c’est notre carburant », avance Delpoux.
Un carburant qui fera, l’espère-t-il, avancer les joueurs de son futur effectif. Une équipe qu’il juge « drôlement compétitive ». Marc Delpoux ne se laisse d’ailleurs pas abattre par l’absence de recrutement d'un nouveau demi de mêlée : « A la mêlée, nous partirons avec Cazenave, numéro un et auteur de supers matchs en ce moment, et les deux Narbonnais que je connais bien, Mélé et Ecochard ». Le technicien fait également part de sa satisfaction quant au paquet d’avants perpignanais de l’année prochaine, mais il regrette toutefois l’absence d’un « troisième ligne longiligne comme Zanni ou Bouilhou ». Il déplore également la légèreté de la ligne de trois-quarts, minée par les départs : « Je me bats désormais avec mon futur président pour obtenir encore deux joueurs derrière, un ailier et un arrière. Car nous sommes trop limités en nombre derrière ».
L’arrivée d’un ancien de la maison sera l’occasion de repartir du bon pied pour l’USAP, après une saison à oublier.
L’ancien capitaine de l’USAP s’est confié dans le Midi Olympique et a esquissé les grandes lignes de sa futur politique en tant que manager du club. Il avoue tout d’abord qu'il ne pouvait refuser l'offre que lui ont faite les dirigeants de l'USAP d'entraîner le club : « L’USAP avait tout pour me plaire. La mariée était trop belle… », se justifie Delpoux. Au-delà de cette métaphore matrimoniale, Delpoux a des idées bien définies quant au projet de jeu qu’il veut mettre en œuvre la saison prochaine, même si cette dernière risque d’être une « année de transition ». « Les résultats de ces six dernières années me donnent raison et je crois en ce rugby de mouvement. A Perpignan, je veux partager cette base avec tout le club, solliciter tout le monde : les entraîneurs des équipes jeunes interviendront lors de l’entraînement du lundi après-midi, Manny Edmonds apportera ses conseils pour les Skills, Didier Sanchez pourra intervenir pour la mêlée… […] La recherche c’est notre carburant », avance Delpoux.
Un carburant qui fera, l’espère-t-il, avancer les joueurs de son futur effectif. Une équipe qu’il juge « drôlement compétitive ». Marc Delpoux ne se laisse d’ailleurs pas abattre par l’absence de recrutement d'un nouveau demi de mêlée : « A la mêlée, nous partirons avec Cazenave, numéro un et auteur de supers matchs en ce moment, et les deux Narbonnais que je connais bien, Mélé et Ecochard ». Le technicien fait également part de sa satisfaction quant au paquet d’avants perpignanais de l’année prochaine, mais il regrette toutefois l’absence d’un « troisième ligne longiligne comme Zanni ou Bouilhou ». Il déplore également la légèreté de la ligne de trois-quarts, minée par les départs : « Je me bats désormais avec mon futur président pour obtenir encore deux joueurs derrière, un ailier et un arrière. Car nous sommes trop limités en nombre derrière ».
L’arrivée d’un ancien de la maison sera l’occasion de repartir du bon pied pour l’USAP, après une saison à oublier.
braco66
delpoux sera le patron..seul son avis sera valable...c est vrai que cazenave est en plein boum mais du temps de jeu pour mele et ecochard serait bien pour la concurence