Ecarté des terrains pendant deux mois pour cause de blessure puis de tempête (oui, oui vous avez bien lu), l’ailier fidjien supersonique du Stade Toulousain, Timoci Matanavou retrouve le Top 14 ce week-end. « Cela a été très dur, confie le joueur sur le site officiel du club. Blessé au psoas contre Clermont, et arrêté pendant un mois, Matanvou en avait profité à l'époque pour rentrer aux Fidji. « Ils m’ont donné deux semaines mais j’ai dû y rester plus longtemps en raison de la tempête qui a frappé le pays. » Malgré son très bon rendement à l’aile de l’attaque toulousaine, le Fidjien a dû aussi faire face à la concurrence avant de pouvoir prétendre à nouveau à une feuille de match.
Désormais Rouge et noir jusqu’en 2017, Timoci est bien décidé à poursuivre l’aventure toulousaine le plus longtemps possible : « Quand je suis arrivé en France, c’était mon rêve d’évoluer au Stade Toulousain. J’ai d’abord signé pour deux saisons, c’était comme une sorte de test. Puis j’ai travaillé comme un fou et c’est passé, indique l’ailier. Je suis heureux de rester ici. » A la fin de son contrat, il aura largement dépassé la trentaine et il s’imagine bien rester en France à la fin de sa carrière. En attendant, il va certainement nous régaler à nouveau d’essais magiques comme celui inscrit face à Edimbourg l'an passé.
Si le Stade est sa « priorité », il n’exclut cependant pas de jouer la Coupe du Monde de rugby à sept qui aura lieu à Moscou, en juin : « On m’a souvent appelé pour faire partie de l’équipe, mais j’ai tout le tout le temps refusé car je voulais d’abord travailler et jouer pour ma ville. » Le Seven, Matanavou le connaît bien pour avoir déjà été convoqué par la sélection nationale fidjienne pour la saison 2007-2008 de l'IRB Sevens World Series. Il avait notamment participé à quatre tournois à commencer par Adélaïde, Londres et Édimbourg et le fameux tournoi de Hong Kong.
Désormais Rouge et noir jusqu’en 2017, Timoci est bien décidé à poursuivre l’aventure toulousaine le plus longtemps possible : « Quand je suis arrivé en France, c’était mon rêve d’évoluer au Stade Toulousain. J’ai d’abord signé pour deux saisons, c’était comme une sorte de test. Puis j’ai travaillé comme un fou et c’est passé, indique l’ailier. Je suis heureux de rester ici. » A la fin de son contrat, il aura largement dépassé la trentaine et il s’imagine bien rester en France à la fin de sa carrière. En attendant, il va certainement nous régaler à nouveau d’essais magiques comme celui inscrit face à Edimbourg l'an passé.
Si le Stade est sa « priorité », il n’exclut cependant pas de jouer la Coupe du Monde de rugby à sept qui aura lieu à Moscou, en juin : « On m’a souvent appelé pour faire partie de l’équipe, mais j’ai tout le tout le temps refusé car je voulais d’abord travailler et jouer pour ma ville. » Le Seven, Matanavou le connaît bien pour avoir déjà été convoqué par la sélection nationale fidjienne pour la saison 2007-2008 de l'IRB Sevens World Series. Il avait notamment participé à quatre tournois à commencer par Adélaïde, Londres et Édimbourg et le fameux tournoi de Hong Kong.