Toulonnais depuis peu, Nicolas Durand retrouvera ce week-end le Racing Metro, son ancien club, dans une affiche prometteuse. Un choc en forme de symbole pour l'ex Perpignanais dont l'aventure dans les Hauts de Seine s'était plutôt mal terminée. La faute notamment à des relations tendues avec le manager du Racing, Pierre Berbizier. Dans un entretien publié par l'Equipe, Nicolas Durand revient sur les rapports qu'il entretenait avec l'ancien demi de mêlée international.
"Durant l'hiver, une partie du groupe est montée au créneau car on n'était pas du tout d'accord avec le discours du coach. Il a décidé de faire la chasse aux sorcières et de sortir quelques mecs. J'en ai fait partie à juste titre ou pas, je n'en sais rien", explique Nicolas Durand. Le joueur, qui explique que tout se passait bien "avec le Président et l'ensemble des joueurs mais pas avec lui", n'a pas le temps pour les regrets et la colère : "Je n'ai pas le temps d'en avoir et puis être en colère ou amer, cela ne me ressemble pas. Je ne vis pas avec le passé. Je m'en sers."
Nicolas Durand, à qui "il ne reste pas 10 ans à jouer", savoure son choix toulonnais : "C'est une région et un état d'esprit qui me correspondent. Il y a la même ferveur que j'ai pu connaître à Perpignan, une énergie positive et un engouement qui permettent de se sublimer. Il y a aussi et surtout un projet très ambitieux."
"Durant l'hiver, une partie du groupe est montée au créneau car on n'était pas du tout d'accord avec le discours du coach. Il a décidé de faire la chasse aux sorcières et de sortir quelques mecs. J'en ai fait partie à juste titre ou pas, je n'en sais rien", explique Nicolas Durand. Le joueur, qui explique que tout se passait bien "avec le Président et l'ensemble des joueurs mais pas avec lui", n'a pas le temps pour les regrets et la colère : "Je n'ai pas le temps d'en avoir et puis être en colère ou amer, cela ne me ressemble pas. Je ne vis pas avec le passé. Je m'en sers."
Nicolas Durand, à qui "il ne reste pas 10 ans à jouer", savoure son choix toulonnais : "C'est une région et un état d'esprit qui me correspondent. Il y a la même ferveur que j'ai pu connaître à Perpignan, une énergie positive et un engouement qui permettent de se sublimer. Il y a aussi et surtout un projet très ambitieux."