Ce vendredi, James Hook sera titulaire pour la première fois depuis deux ans avec le Pays de Galles face au Tonga sur la pelouse du Millennium Stadium de Cardiff. Un match, a l'importance toute particulière pour le joueur de l'USAP, que le double vainqueur du 6 Nations se doit de gagner. Cantonné au rôle de remplaçant sous le maillot gallois depuis la Coupe du monde, Hook n'était plus vraiment sur les tablettes de Warren Gatland. Ce dernier lui reprochant en quelque sorte d'avoir quitté la province des Ospreys pour rejoindre le Top 14 sans son aval. Un choix qu'il ne regrette néanmoins pas : « Jouer l'Australie (match prévu le 30 novembre), cela ne représente qu'une rencontre dans le calendrier international. Au bout du compte, c'est le club qui me paye, » indique le Gallois via le South Wales Evening Post.
Il faut dire qu'en rejoignant l'hexagone, James Hook a changé de statut. Un temps ouvreur, puis replacé à l'arrière, celui qui a été élu meilleur joueur de la saison 2012-2013 par les supporters de l'USAP, a aidé Perpignan a retrouvé sa place en H Cup. « Jouer en France m'a été bénéfique. J'ai progressé dans mon jeu et je pense être un meilleur joueur. Cela m'a donné une chance de jouer dans un autre championnat, m'a sorti de ma zone de confort puisque j'ai également dû apprendre une nouvelle langue. À ce titre, je n'ai pas de regrets. » À l'heure où certains joueurs Gallois hésitent à faire ce pas, Hook n'a d'ailleurs qu'un conseil : « Pour des jeunes comme George North, c'est une bonne chose de partir. Du moment que Gatland est d'accord. »
Il y a tout de même quelque chose qui chagrine James Hook : cette tendance qu'a le Pays de Galles à faire de mauvais matchs contre les équipes du Pacifique ces dernières années, avec notamment un nul contre les Fidji puis une défaite contre les Samoa. Pour lui, l'objectif est double : aider son pays à mettre un terme à cette mauvaise série tout en réussissant à taper dans l'œil du sélectionneur en vue du prochain Tournoi des 6 nations. « C'est mon dernier match de l'automne, donc j'espère faire une bonne performance pour moi et pour l'équipe. » Son ancien coéquipier chez les Ospreys Ryan Jones, aujourd'hui capitaine du Pays de Galles, a confiance en lui : « À l'entraînement, il n'y a rien qu'il ne puisse accomplir. Mais le rôle des 10 a changé. Aujourd'hui, ce qui importe, c'est de faire les bons choix aux bons moments. Je ne pense pas qu'il sache vraiment ce qu'il va faire la moitié du temps. Ce qui le rend d'autant plus menaçant en attaque. »
Il faut dire qu'en rejoignant l'hexagone, James Hook a changé de statut. Un temps ouvreur, puis replacé à l'arrière, celui qui a été élu meilleur joueur de la saison 2012-2013 par les supporters de l'USAP, a aidé Perpignan a retrouvé sa place en H Cup. « Jouer en France m'a été bénéfique. J'ai progressé dans mon jeu et je pense être un meilleur joueur. Cela m'a donné une chance de jouer dans un autre championnat, m'a sorti de ma zone de confort puisque j'ai également dû apprendre une nouvelle langue. À ce titre, je n'ai pas de regrets. » À l'heure où certains joueurs Gallois hésitent à faire ce pas, Hook n'a d'ailleurs qu'un conseil : « Pour des jeunes comme George North, c'est une bonne chose de partir. Du moment que Gatland est d'accord. »
Il y a tout de même quelque chose qui chagrine James Hook : cette tendance qu'a le Pays de Galles à faire de mauvais matchs contre les équipes du Pacifique ces dernières années, avec notamment un nul contre les Fidji puis une défaite contre les Samoa. Pour lui, l'objectif est double : aider son pays à mettre un terme à cette mauvaise série tout en réussissant à taper dans l'œil du sélectionneur en vue du prochain Tournoi des 6 nations. « C'est mon dernier match de l'automne, donc j'espère faire une bonne performance pour moi et pour l'équipe. » Son ancien coéquipier chez les Ospreys Ryan Jones, aujourd'hui capitaine du Pays de Galles, a confiance en lui : « À l'entraînement, il n'y a rien qu'il ne puisse accomplir. Mais le rôle des 10 a changé. Aujourd'hui, ce qui importe, c'est de faire les bons choix aux bons moments. Je ne pense pas qu'il sache vraiment ce qu'il va faire la moitié du temps. Ce qui le rend d'autant plus menaçant en attaque. »
ViscaChuck
Crochet crochet tu nous a accroché!!!
CedricH
"Je ne pense pas qu'il sache vraiment ce qu'il va faire la moitié du temps."
C'était pas la définition du French Flair (c), ça ? Ce qu'ils disent outre-Manche avant de jouer contre nous pour bien nous caresser dans le sens du poil... Ah, on peut pas dire qu'il s'est pas intégré... ! 😛
ced
des fois il nous sert à boire aussi, il sait vraiment tout faire ce gars.
FF.
puisque c'est un concokk de vannes pourries, je vais en rajouter une dernière....Hookilé James..???
paraglide
Capitaine hook, on t'aime en catalogne!
Guiôm
Vu les qualités de ce joueur, Hook'il aille il aurait réussi... Ok j'ai honte.
cahues
James Hook : Un des seuls ténors du rugby européen a justifier son statut dans le Top 14.Il tire l'Usap vers le haut
incontestablement. Un grand Monsieur