Alors qu’un ultime joueur doit être retiré du groupe ce mercredi soir à l’issu des entraînements, Philippe Saint-André est revenu sur le processus de sélection du XV de France pour affronter l’Italie ce dimanche à 16h. « C’est toujours compliqué de ne garder que 23 joueurs » confie le sélectionneur. Une tâche rendue encore plus difficile par les forfaits de dernière minute de Brice Dulin et Vincent Clerc : « Il a fallu s’adapter » ajoute-t-il. C’est vrai qu’il n’a pas vraiment le choix. En récupérant ses joueurs une semaine seulement avant le début des hostilités, PSA n’a pas trop eu le temps de tergiverser.
« Les premiers jours ont surtout été consacrés à la récupération, et ce jusqu’au lundi matin. A la suite d’une bonne séance d’environ une heure, il a fallu faire des choix. » En fil rouge, de la cohérence par rapport aux tests automnaux. « La plupart des joueurs qui étaient là en novembre sont présents. » L’objectif étant d’avoir un maximum d'éléments qui ont déjà évolué ensemble pour « conserver les automatismes. »
Saint-André a ensuite basé ses décisions par rapport au futur adversaire des Bleus. « Les Italiens sont très forts en mêlée fermée c’est pourquoi nous avons choisi de prendre deux piliers droits de métier et de garder Vincent Debaty à gauche. » Récompenser certains joueurs, comme Romain Taofifenua, « qui fait de très bons matchs avec Perpignan », au détriment d’autre comme Suta, sans doute cramé après « 12 week-end d’affilée », paraissait ensuite logique. Reste finalement à choisir qui de Fulgence Ouedraogo, touché à la cheville mais semble-t-il apte à jouer, ou de Louis Picamoles, victime à la fois d’une béquille et d’une infection cutanée à la cuisse droite, survivra à la dernière réduction d’effectif.
« Les premiers jours ont surtout été consacrés à la récupération, et ce jusqu’au lundi matin. A la suite d’une bonne séance d’environ une heure, il a fallu faire des choix. » En fil rouge, de la cohérence par rapport aux tests automnaux. « La plupart des joueurs qui étaient là en novembre sont présents. » L’objectif étant d’avoir un maximum d'éléments qui ont déjà évolué ensemble pour « conserver les automatismes. »
Saint-André a ensuite basé ses décisions par rapport au futur adversaire des Bleus. « Les Italiens sont très forts en mêlée fermée c’est pourquoi nous avons choisi de prendre deux piliers droits de métier et de garder Vincent Debaty à gauche. » Récompenser certains joueurs, comme Romain Taofifenua, « qui fait de très bons matchs avec Perpignan », au détriment d’autre comme Suta, sans doute cramé après « 12 week-end d’affilée », paraissait ensuite logique. Reste finalement à choisir qui de Fulgence Ouedraogo, touché à la cheville mais semble-t-il apte à jouer, ou de Louis Picamoles, victime à la fois d’une béquille et d’une infection cutanée à la cuisse droite, survivra à la dernière réduction d’effectif.
aupaAB
Pour en revenir au sondage, un Ouedraogo à "100%" (en revenant de blessure c'est d'ailleurs toujours délicat) ne vaut pas un Dusautoir malheureusement pour lui. Bonnaire aurait été là le choix aurait été davantage compliqué c'est sur.
artjungleman
C'est la mêlée castraise qui à subit ces dernières semaines, pas Forestier en particulier....
Il fait le taff lui, nôtre mêlée a été chahutée à cause de nombreuses blessures de mecs qui tenaient la baraque :Taumoepau, Wihongi, Bonello, Capo Ortega....
dim50
Dans un sens, il est cohérent pour rapport à la dernière tournée. Mais vu qu'il ne l'a pas été sur ladite tournée...
Aucun ailier essayé à ce moment du coup il se retrouve à mettre le meilleur centre du groupe à l'aile.
Aucun arrière de métier dans le groupe ?!
Par contre, qu'il ne prétende pas comme il a pu le faire pratiquer la politique de "l'homme en forme" car le choix d'un Forestier très malmené en mêlée ces dernières semaines n'entre pas dans ce cadre...