Blessures, dépression, abandon : la dégringolade de l'ancien Black Richard Kahui
On avait presque oublié qu’il jouait au rugby. Au vrai, avant l'an passé, la dernière fois que le nom de Richard Kahui avait attiré notre attention, c’était en 2017, lors de sa prise de brassard au sein de son club nippon des Toshiba Brave Lupus, niché à Fuchu, à quelques bornes à l’ouest de Tokyo. Depuis, nibe, wallou, nada, ou du moins plus rien capable de faire un écho sur l’échelle du rugby international. Ni de la part de sa formation japonaise, ni de lui-même d’ailleurs. Peut-être un peu « old school » pour certains mais en tous cas pas des plus actifs sur les réseaux sociaux : il est comme ça Richard Kahui, pas du genre à faire trop de vagues.
Soutenez le Rugbynistère pour le prix d’une pinte !
Vos adhésions financent la création de contenu par des passionnés de ballon ovale. Devenez adhérent pour débloquer cet article Premium !