L’histoire se répète pour le XV de France. En 2011, suivant l’échec romain, les Bleus avaient accueilli le Pays de Galles au Stade de France dans un état d’esprit revanchard. Animés par cette volonté de « laver l’affront » et de montrer le « vrai visage » de la France. Et cela s’était plutôt bien passé pour Dusautoir et compagnie. Avec trois essais pour une victoire 28-9, la France terminait même deuxième derrière l’Angleterre. Aujourd’hui la configuration diffère quelque peu. Les Bleus ont été surpris en début de compétition et non lors de l’avant dernière journée. Remporter le Tournoi reste encore possible mais cela passe par une nouvelle victoire sur les Gallois.
Pour Wesley Fofana, point « d’esprit de revanche » mais la volonté de « se racheter ». Mathieu Bastareaud, titulaire ce samedi, veut lui « rectifier le tir ». Il faut dire que les Français sont sérieusement passés à côté dimanche dernier à Rome. « On a pas besoin du discours de l’entraîneur pour être piqué à vif. Sortir défaits d’une rencontre comme celle-là nous fait assez mal » confie Yoann Maestri. Le « bleu de chauffe » n’est pas de sortie cette année comme il avait pu l’être en 2011. C’est plutôt un esprit de cohésion qui règne au sein du groupe tricolore. En témoigne l’unique changement opéré par PSA dans le XV de départ. Marc Lièvremont avait, lui, choisi de couper des têtes. Chacun son style. « On va se serrer tous ensemble et avancer ensemble » continue Maestri.
Animés par le leitmotiv « on perd ensemble, on gagne ensemble », les Bleus sont un peu les Bad Boys du rugby. Mais en face, les Gallois n’ont rien non plus d’enfants de cœur. Eux aussi ont été piqués au vif par le trèfle irlandais. Eux aussi, veulent se racheter. « Ils voudront à tout prix gagner. On s’attend à un gros match » lance Jocelino Suta, appelé par PSA pour pallier le forfait de Pascal Papé. S'ils veulent la rédemption, les Bleus vont devoir aller la chercher.
Pour Wesley Fofana, point « d’esprit de revanche » mais la volonté de « se racheter ». Mathieu Bastareaud, titulaire ce samedi, veut lui « rectifier le tir ». Il faut dire que les Français sont sérieusement passés à côté dimanche dernier à Rome. « On a pas besoin du discours de l’entraîneur pour être piqué à vif. Sortir défaits d’une rencontre comme celle-là nous fait assez mal » confie Yoann Maestri. Le « bleu de chauffe » n’est pas de sortie cette année comme il avait pu l’être en 2011. C’est plutôt un esprit de cohésion qui règne au sein du groupe tricolore. En témoigne l’unique changement opéré par PSA dans le XV de départ. Marc Lièvremont avait, lui, choisi de couper des têtes. Chacun son style. « On va se serrer tous ensemble et avancer ensemble » continue Maestri.
Animés par le leitmotiv « on perd ensemble, on gagne ensemble », les Bleus sont un peu les Bad Boys du rugby. Mais en face, les Gallois n’ont rien non plus d’enfants de cœur. Eux aussi ont été piqués au vif par le trèfle irlandais. Eux aussi, veulent se racheter. « Ils voudront à tout prix gagner. On s’attend à un gros match » lance Jocelino Suta, appelé par PSA pour pallier le forfait de Pascal Papé. S'ils veulent la rédemption, les Bleus vont devoir aller la chercher.
Yonolan
le pauvre..combien de commentaires de ce genre sous PSA et Jacquot...