Il n’y a pas eu de miracle ce samedi à Rovoreto pour les filles de l’équipe de France de rugby. Et pourtant, elles sont passées à un cheveu de l’exploit. En finale de la Coupe d’Europe, les Bleues se sont en effet inclinées 29 à 25 au terme d’un match à rebondissements.
Une rencontre particulièrement cruelle pour les Françaises qui menaient 25 à 22 à deux minutes du coup de sifflet final avant d’encaisser un essai assassin inscrit par Lydia Thompson. La transformation d'Emily Scarratt donnait quatre points d’avance à l’Angleterre, privant les Bleues de toute possibilité de revenir sur drop ou pénalité.
Auparavant, les Françaises avaient montré un visage séduisant en maitrisant parfaitement leurs rivales anglaises pendant la majeure partie du match, grâce à l’efficacité de Portaries (1 essai, 1 transformation et 3 pénalités) et à la précision d’Aurélie Bailon, auteure de trois drops. Les deux équipes envoyaient beaucoup de jeu en deuxième période, après un premier acte fermé conclu sur le score de 7 à 3. Malheureusement, la Française Sandra Rabier écopait d’un carton jaune à la 68ème minute et laissait ses partenaires en infériorité numérique quasiment jusqu’à la fin du match. Les Bleues compensaient alors au prix d’une débauche d’énergie supplémentaire, fatale dans les derniers instants.
Un dénouement difficile pour les Françaises qui n’ont jamais été aussi proches de décrocher leur premier titre majeur depuis 2005, même si avec quatre essais inscrits, les Anglaises ne l’ont pas volé.
Une rencontre particulièrement cruelle pour les Françaises qui menaient 25 à 22 à deux minutes du coup de sifflet final avant d’encaisser un essai assassin inscrit par Lydia Thompson. La transformation d'Emily Scarratt donnait quatre points d’avance à l’Angleterre, privant les Bleues de toute possibilité de revenir sur drop ou pénalité.
Auparavant, les Françaises avaient montré un visage séduisant en maitrisant parfaitement leurs rivales anglaises pendant la majeure partie du match, grâce à l’efficacité de Portaries (1 essai, 1 transformation et 3 pénalités) et à la précision d’Aurélie Bailon, auteure de trois drops. Les deux équipes envoyaient beaucoup de jeu en deuxième période, après un premier acte fermé conclu sur le score de 7 à 3. Malheureusement, la Française Sandra Rabier écopait d’un carton jaune à la 68ème minute et laissait ses partenaires en infériorité numérique quasiment jusqu’à la fin du match. Les Bleues compensaient alors au prix d’une débauche d’énergie supplémentaire, fatale dans les derniers instants.
Un dénouement difficile pour les Françaises qui n’ont jamais été aussi proches de décrocher leur premier titre majeur depuis 2005, même si avec quatre essais inscrits, les Anglaises ne l’ont pas volé.
ced
en fait quoi que tu fasses y a toujours un anglais pour t'e........, on devrait les interdire de jouer contre les autres. bravo les filles en tout cas, on dit comment : les rosbeeffes au féminin ?