Le titre est volontairement évocateur car si l’ailier malaisien Dineshwaran Krishnan est encore à des années lumière d’avoir la renommée et le palmarès de l’ancien All Black Jonah Lomu, on ne peut s’empêcher de faire le rapprochement lorsqu’on regarde ce puissant joueur évoluant au même poste se défaire avec autant de facilité de pas moins de cinq joueurs en bord de touche en enchainant les raffuts et les gros bouchons sur plus de 50 mètres. La différence ? Lomu, lui, serait allé marquer. Parce qu’échouer à deux mètres de l’en-but après tous ces efforts, c’est quand même dommage.
Bien évidement il s’agit de relativiser l’exploit par rapport à la défense des Thaîlandais mais on sent que le bonhomme a de l’avenir. Il a d’ailleurs récemment choisi de rejoindre la Top League japonaise et plus particulièrement le Yamaha Jubilo basé à Iwata. Une décision qui fait de lui le deuxième joueur malaisien de l'histoire à devenir professionnel et à venir jouer au Japon, après Marc Le, passé par le club néo-zélandais de Marist St Pats puis chez les Ricoh Black Rams. Un départ qui pourrait inciter d’autres joueurs malaisiens à tenter l’aventure à l'étranger comme le souhaite Datuk Amirrudin Embi, président de la fédération malaisienne.
Bien évidement il s’agit de relativiser l’exploit par rapport à la défense des Thaîlandais mais on sent que le bonhomme a de l’avenir. Il a d’ailleurs récemment choisi de rejoindre la Top League japonaise et plus particulièrement le Yamaha Jubilo basé à Iwata. Une décision qui fait de lui le deuxième joueur malaisien de l'histoire à devenir professionnel et à venir jouer au Japon, après Marc Le, passé par le club néo-zélandais de Marist St Pats puis chez les Ricoh Black Rams. Un départ qui pourrait inciter d’autres joueurs malaisiens à tenter l’aventure à l'étranger comme le souhaite Datuk Amirrudin Embi, président de la fédération malaisienne.
olivierarslan
Bien joué le pilier qui court une diagonale pour le rattraper
dhurrell
'des versions bridées de Benoît Paillaugue'
LOL
TPhib
Les ravages de la drogue 😊
Inglorious Bastareaud
Vern Cotter a mis la pression à ses dirigeants : "Je veux Dineshwaran Krishnan à Clermont ou je démissionne".
Encore peu familier des subtilités de la langue française, il aurait été convaincu par son côté "malaisien" qu'il aurait interprété comme étant "spécialiste du malaise".
Autre souhait : recruter Boris Cyrulnik, ainsi que le petit singe jean-marc (avec le ventriloque). Qu'il a vu chez Sébastien. La préparation mentale est donc clairement une priorité à clermont.
jean lemou
Il aurait fallu mettre du cul pour faire le bonheur des moteurs de recherche.
Je n'ai aucun talent pour trouver des titres,mais je me demande s'il n'y avait pas un truc à trouver avec les Thailandais...
Zarathoustra
On a le droit de faire jouer des séniors contre des minimes ?
TPhib
L'article ne compare nullement Dineshwaran Krishnan à Lomu. C'est juste quand le voyant faire en bord de touche, on pense à l'illustre All Black. Bien évidemment, mettre Lomu dans le titre du papier n'est pas innocent. Tu reconnaîtras qu'écrire par exemple "Le Malaisien Dineshwaran Krishnan (illustre inconnu comme tu le dis) explose des Thaïlandais" c'est tout de suite moins accrocheur.
damien try
Le titre est volontairement complètement putassier car si l’ailier malaisien Dineshwaran Krishnan est complètement inconnu alors que Jonah Lomu est Jonah Lomu, j'ai vu un joueur au gabarit respectable mettre des percu sur des versions bridées de Benoît Paillaugue. Du coup j'ai mis Jonah Lomu.