Ce soir, le RCT et le Castres Olympique tenteront de soulever le bouclier de Brennus, un titre qui leur échappe depuis 1992 et 1993... Une éternité. Cette rencontre pourrait ne pas être si déséquilibrée que ça. Car si Toulon s'est imposé facilement à l'aller, c'est bien le CO qui remporte le match retour (25-20, score final.) Les joueurs de Laurent Labit et Laurent Travers restaient pourtant sur une défaite surprise à Aguiléra face au Biarritz Olympique. Pour ce choc, l'équipe alignée par les deux compères est sensiblement différente de celle qui foulera la pelouse du Stade de France. Piula Faassalele, Marcel Garvey et Matthias Rolland (capitaine à l'époque), ne seront même pas sur la feuille de match. Romain Teulet et Jannie Bornman sont également titularisés. Côté toulonnais, seul neuf joueurs titulaires ce soir l'étaient également lors de cette 19e journée.
Pour ce match en nocturne, Pierre-Antoine fait le plein. Castres rentre tambour battant dans la partie. Kockott et ses partenaires décident de mettre beaucoup de volume en remontant tous les ballons. Si les intentions sont là, Romain Teulet se met à la faute. Jonny Wilkinson ouvre le score sur une pénalité de plus de 50m. Peu avant le quart d'heure de jeu, le CO réagit en inscrivant le premier essai du match. Faassalele crée un point de fixation à l'entrée des 22m toulonnais. Kockott éjecte sur Talès qui enchaîne même sens avec Romain Cabannes. Le ¾ centre négocie un deux contre deux et transmet à Romain Martial. Le ballon atterrit finalement sur la poitrine de Rudi Wulf, incapable de le contrôler. Martial en profite, s'en empare et n'a plus qu'à courir jusque dans l'en-but.
La suite se résume à un duel de buteur entre Rory Kockott et Jonny Wilkinson, les deux meilleurs réalisateurs de notre championnat. Les deux équipes se mettent régulièrement à la faute. Le match est haché, tendu, serré, comme une finale avant l'heure. Andrew Sheridan et Sébastien Bruno écopent d'un carton jaune et Kockott sanctionne l'indiscipline des rouges et noirs. Le CO s'envole mais c'est sans compter sur Wilko, qui, comme à l'aller, claque un drop au retour des vestiaires. Rémi Talès, très bon animateur, lui répondra peu après l'heure de jeu. Le match semble plié jusqu'à l'essai de Matt Giteau à dix minutes du coup de sifflet final. Sur une action classique, Wilkinson ouvre sur l'Australien qui transmet à Maxime Mermoz au large. L'ancien Perpignanais prend un intervalle, raffûte Talès et s'enroule autour de lui pour retrouver Giteau à son intérieur qui peut plonger tranquillement. Mais en fin de match, la défense du CO tient bon et Laurent Travers peut lever les bras au ciel. Qui remportera la belle ? Réponse ce soir aux alentours de 23h.
Pour ce match en nocturne, Pierre-Antoine fait le plein. Castres rentre tambour battant dans la partie. Kockott et ses partenaires décident de mettre beaucoup de volume en remontant tous les ballons. Si les intentions sont là, Romain Teulet se met à la faute. Jonny Wilkinson ouvre le score sur une pénalité de plus de 50m. Peu avant le quart d'heure de jeu, le CO réagit en inscrivant le premier essai du match. Faassalele crée un point de fixation à l'entrée des 22m toulonnais. Kockott éjecte sur Talès qui enchaîne même sens avec Romain Cabannes. Le ¾ centre négocie un deux contre deux et transmet à Romain Martial. Le ballon atterrit finalement sur la poitrine de Rudi Wulf, incapable de le contrôler. Martial en profite, s'en empare et n'a plus qu'à courir jusque dans l'en-but.
La suite se résume à un duel de buteur entre Rory Kockott et Jonny Wilkinson, les deux meilleurs réalisateurs de notre championnat. Les deux équipes se mettent régulièrement à la faute. Le match est haché, tendu, serré, comme une finale avant l'heure. Andrew Sheridan et Sébastien Bruno écopent d'un carton jaune et Kockott sanctionne l'indiscipline des rouges et noirs. Le CO s'envole mais c'est sans compter sur Wilko, qui, comme à l'aller, claque un drop au retour des vestiaires. Rémi Talès, très bon animateur, lui répondra peu après l'heure de jeu. Le match semble plié jusqu'à l'essai de Matt Giteau à dix minutes du coup de sifflet final. Sur une action classique, Wilkinson ouvre sur l'Australien qui transmet à Maxime Mermoz au large. L'ancien Perpignanais prend un intervalle, raffûte Talès et s'enroule autour de lui pour retrouver Giteau à son intérieur qui peut plonger tranquillement. Mais en fin de match, la défense du CO tient bon et Laurent Travers peut lever les bras au ciel. Qui remportera la belle ? Réponse ce soir aux alentours de 23h.