Une affiche 100 % française attend les amateurs de rugby ce samedi 19 septembre à 18h30 : Clermont reçoit le Racing 92 pour le quart de finale de Champions Cup. L'affiche n'est pas si inédite que ça. En dehors du Top14, les deux équipes se sont déjà affrontées en quart de finale européen, il y a maintenant 2 ans. Le contexte était bien évidemment différent pour les deux équipes. Clermont sortait d'un titre de champion de France la saison passée et la malédiction de l'année N+1 d'un champion n'est pas inconnue de tous. La qualification en quart de finale de Champions Cup a quand même été là, avec une phase de poule que les jaunards ont terminé à la première place devant les Saracens, les Ospreys et Northampton. Clermont n'a perdu qu'une seule fois un quart de finale à domicile (17-28), et le bourreau était vêtu de ciel et blanc.
Russell VS Lopez : qui va prendre le dessus en 1/4 de Champions Cup ?
Côté francilien, les semaines précédants ce 1/4 de finale ont été plus que convaincantes avec 5 victoires sur 7 matchs (dont 2 à l'extérieur). Maxime Machenaud débutait ce match avec un taux de réussite en Champions Cup de 95 % face aux perches (1 coup de pied manqué). Cette fois-ci, le lieu ne change pas : le Stade Marcel-Michelin de Clermont. Mais les équipes sont-elles les mêmes ?
Qui était présent en 2018 ?
L'équipe clermontoise a connu quelques changements depuis. Si Benjamin Kayser a décidé de prendre sa retraite en 2019, d'autres ont préféré continuer dans un autre club : Damien Chouly (USAP), Patricio Fernández et Rémy Grosso au LOU, Ulugia à Bayonne, Laidlaw (NTT Shining Arcs, Japon), etc
Les Racingmen ont eu plus de mouvements. On se rappelle de Dan Carter sur le banc, avec un certain Joe Rokocoko. Les vieux de la veille étaient présents : Chavancy, Vakatawa, Le Roux, Ben Arous ou Lauret. Si Nyanga a décidé d'intéger le staff, le plus gros départ reste celui de Leone Nakarawa pour Bristol. Les joueurs changent, la colonne vertébrale ne bouge pas.
Labrax
oui vu le début de saison de l'asm ça risque d'être belote, re-belote et rere-belote, il va falloir qu'ils se mettent un sacré coup de pied au cul