Tout à l'heure, nous vous faisions découvrir ou redécouvrir la très belle mandale par derrière du Montois Pierre Cazals lors de la finale du championnat de France 1963. Si Cazals était un maître dans le domaine du coup en traître, que dire alors que l'ancien Toulonnais Norman Jordaan.
Resituons le contexte : nous sommes en 2009 et le RCT de Mourad Boudjellal vient tout juste de retrouver le Top 14. L'équipe varoise est alors composée de stars comme le All Black Jerry Collins, ou un certain Sonny Bill Williams, et de quelques jeunes du cru comme Marc Andreu... mais aussi de quelques joueurs plus folkloriques, comme l'italien Ramiro Pez, le pilier à l'ancienne David Banquet ou Norman Jordaan, un très éphémère international Springboks qui avait visiblement la gâchette facile. Comme il l'a très vite prouvé lors de ce match bouillant face au Stade Français à Mayol.
Après un plaquage un brin illégal de Parisse sur Andreu en fin de première mi-temps, la générale éclate. Le demi de mêlée dégarni est probablement un grand fan de Mohammed Ali, et de sa célèbre phrase « vole comme le papillon, pique comme l'abeille ». il décide alors de voler de cible et cible et d'arroser tout ce qui bouge... rien à dire, du bel ouvrage. Peut-être un futur adversaire pour les combats de boxe de Sonny Bill Williams?
Vous noterez au passage les doux mots du public de Mayol pour Rodrigo Roncero, toujours dans les bons coups. C'est aussi ça le rugby, parfois.
Resituons le contexte : nous sommes en 2009 et le RCT de Mourad Boudjellal vient tout juste de retrouver le Top 14. L'équipe varoise est alors composée de stars comme le All Black Jerry Collins, ou un certain Sonny Bill Williams, et de quelques jeunes du cru comme Marc Andreu... mais aussi de quelques joueurs plus folkloriques, comme l'italien Ramiro Pez, le pilier à l'ancienne David Banquet ou Norman Jordaan, un très éphémère international Springboks qui avait visiblement la gâchette facile. Comme il l'a très vite prouvé lors de ce match bouillant face au Stade Français à Mayol.
Après un plaquage un brin illégal de Parisse sur Andreu en fin de première mi-temps, la générale éclate. Le demi de mêlée dégarni est probablement un grand fan de Mohammed Ali, et de sa célèbre phrase « vole comme le papillon, pique comme l'abeille ». il décide alors de voler de cible et cible et d'arroser tout ce qui bouge... rien à dire, du bel ouvrage. Peut-être un futur adversaire pour les combats de boxe de Sonny Bill Williams?
Vous noterez au passage les doux mots du public de Mayol pour Rodrigo Roncero, toujours dans les bons coups. C'est aussi ça le rugby, parfois.
Higelm
N'empêche, je regarde ça presque avec nostalgie, et un peu d'amusement avec les réactions de Lombard ("C'est du grand Mayol !... Cela dit, cela serait bien que les choses rentrent dans l'ordre.." / "Va y avoir un jolie geste technique du 9 sur Roncero... Voilà ici là PAN... PAN.. hahaha... Cela dit on rigole mais ce n'est pas extraordinaire de montrer ça")..
Je crois que c'est la réaction de tout bon passionné de rugby, on ne peut pas s'empêcher de regarder et d'en sourire, avant que l'esprit nous revienne et qu'il nous rappelle que ce n'est pas un bon exemple en effet.. Mais il n'y a rien de mal à en sourire un peu.
Prieur_vincent
beau etre un parigo, les maillots du stade etait vraiment degueulasse. celui qu'aurait du prendre des baffes c'est celui qui s'est amusé à dessiner ça.
Pierre-Jean Christian
On l'appelle le chevalier blanc!
ced
je m'en souviens bien de ce match, c'était lamentable, Dominici avait dégoupillé, les joueurs avaient une attitude haineuse, Roncero est sortie sous des "Roncero enc...." ... magnifique, comme dans les stades de foot, il ne manque plus que les fumigènes et autres ciseaux qui volent.
JackyBousse4L
Du grand Mayol cela dit Norman me rappelle un autre 9 de Toulon qui jouait bien de ses poings : Matt Henjak...