Après de nombreuses finales perdues en Top 14, l’ASM Clermont Auvergne a connu ce samedi l’une, si ce n’est la plus grande déception de son histoire. Une défaite en finale de la Coupe d’Europe face au RC Toulon alors que la victoire semblait à portée. Les Jaunards avaient tout fait, tout donné, peut-être même trop, en témoignent ces 11 pénalités concédées et ces 19 ballons perdus. Alors au moment du coup de sifflet final scellant ce nouvel échec à quelques encablures du sommet de l’Europe, les joueurs ont craqué. Certains ont pleuré, d’autres étaient en colère. Beaucoup sont restés quelques instants immobiles, comme perdus et surtout incapables de comprendre comment le match avait pu leur échapper.
« C'est sûr qu'il y a une certaine relâche après les deux essais en début de deuxième mi-temps. Il faut se dire qu'un match de rugby dure 80 minutes et pas 60 minutes » analysait le capitaine clermontois Aurélien Rougerie en début de semaine via France 3. Tous regrettent sans doute de ne pas avoir enfoncé le clou au moment opportun. Ces regrets, il y a fort à parier qu’ils perdurent durant de très longues années. « Je crois qu'on ne pourra jamais vraiment digérer cette défaite » confie Benjamin Kayser sur le site officiel du Castres Olympique, futur adversaire de l’ASM en demi-finale du Top 14.
En effet, les joueurs clermontois n’ont eu que très peu de temps pour faire le deuil de cette défaite. « Pendant le voyage, ils étaient encore dans la contrition, dans l’abattement. Mais depuis, je sais qu’ils se sont regroupés comme ils ont l’habitude de le faire » témoigne René Fontès, le président de l’ASM, via Sud-Ouest. Présent dans les vestiaires après la finale, il y a « ressenti beaucoup de douleur. » Une douleur « difficile [à] quantifier » qu’il a néanmoins fallu évacuer. Quoi de mieux qu’un autre match capital face à une équipe au profil semblable à Toulon, selon les dires de Rougerie, pour oublier. « On l'aborde archi sérieusement en restant extrêmement prudent » indique Kayzer. Prêts physiquement, les Clermontois devront surtout l’être mentalement ce samedi à Nantes pour s'offrir une nouvelle finale.
« C'est sûr qu'il y a une certaine relâche après les deux essais en début de deuxième mi-temps. Il faut se dire qu'un match de rugby dure 80 minutes et pas 60 minutes » analysait le capitaine clermontois Aurélien Rougerie en début de semaine via France 3. Tous regrettent sans doute de ne pas avoir enfoncé le clou au moment opportun. Ces regrets, il y a fort à parier qu’ils perdurent durant de très longues années. « Je crois qu'on ne pourra jamais vraiment digérer cette défaite » confie Benjamin Kayser sur le site officiel du Castres Olympique, futur adversaire de l’ASM en demi-finale du Top 14.
En effet, les joueurs clermontois n’ont eu que très peu de temps pour faire le deuil de cette défaite. « Pendant le voyage, ils étaient encore dans la contrition, dans l’abattement. Mais depuis, je sais qu’ils se sont regroupés comme ils ont l’habitude de le faire » témoigne René Fontès, le président de l’ASM, via Sud-Ouest. Présent dans les vestiaires après la finale, il y a « ressenti beaucoup de douleur. » Une douleur « difficile [à] quantifier » qu’il a néanmoins fallu évacuer. Quoi de mieux qu’un autre match capital face à une équipe au profil semblable à Toulon, selon les dires de Rougerie, pour oublier. « On l'aborde archi sérieusement en restant extrêmement prudent » indique Kayzer. Prêts physiquement, les Clermontois devront surtout l’être mentalement ce samedi à Nantes pour s'offrir une nouvelle finale.
Kadova
C'est vrai que c'etait dur de les voir samedi. Esperons qu'ils plongent completement leur esprit dans leur demie contre Castres.
ced
ils ne savent pas tuer les matchs, quel dommage surtout quand on voit l'équipe qu'ils ont, bon courage pour les demies.
Zarathoustra
Ces images sont douloureuses...
Moi non plus je crois que je ne suis pas près de la digérer cette défaite, c'est même peut-être pire que si c'était Montpellier qui avait perdu...
Le Brennus peut toutefois être un très beau lot de consolation, à condition de ne pas passer à coté de la demie...
Soit les Clermontois se seront refait la cerise moralement et, portés par un vent de révolte, mettront une fessée à Castres, soit ils auront encore leur finale perdue dans la tête, auquel cas le match est perdu d'avance...