Avec son 1m94 et ses 108kg, on imaginait difficilement le Sud-Africain Pierre Spies (50 sélections) pousser la chansonnette tel le chanteur bodybuildé d’un boys band…Mais tout ça c’était avant le drame bien entendu. Avant que les Vodacom Bulls décident de reprendre tous en cœur le succès de Ben E. King, Stand By Me. Non, il faut reconnaître que nous sommes un peu durs et que c'est plutôt bien fait. Ils ne chantent pas (tous) comme des casseroles. Même Morné Steyn donne de la voix alors que le barbu, Jacques Potgieter nous fait part de sa belle voix de baryton.
Ce Stand by the Bulls est même entraînant. On prend d’ailleurs plaisir à voir tous ces grands gaillards jouer les Glee club. Et tout ça pour quoi me direz-vous ? Et bien pour faire parler d’eux d’une part. Ce qui marche assez bien. Et d’autre part pour, comme le dit la chanson, que les gens les supportent. Car l’an passé, les Bulls avaient seulement accédé aux matchs de barrage après une saison en demi-teinte ponctuée de six défaites et dix victoires. Un rendement qui leur avait permis de prendre la deuxième place de la conférence sud-africaine avant d’être finalement éliminés par les Crusaders sur le score de 23-18, avec notamment un essai de Potgieter.
Cette année, ils semblent bien décidés à aller plus loin et à pourquoi pas remporter pour la quatrième fois le championnat des clubs de l’hémisphère sud. Eux qui, entre 2007 et 2010, avaient connu des années fastes avec trois titres. En 2007, ils avaient notamment établi un record en disposant des Reds lors des phases finales par le plus grand écart de points (89) enregistré en Super Rugby, pour un score ahurissant de 92 à 3. Ils avaient aussi impressionné en 2009 lors de la finale du Super 15 en écrasant les Chiefs 61 à 17. Ce chant guerrier devrait sans doute les remettre sur le chemin du succès.
Ce Stand by the Bulls est même entraînant. On prend d’ailleurs plaisir à voir tous ces grands gaillards jouer les Glee club. Et tout ça pour quoi me direz-vous ? Et bien pour faire parler d’eux d’une part. Ce qui marche assez bien. Et d’autre part pour, comme le dit la chanson, que les gens les supportent. Car l’an passé, les Bulls avaient seulement accédé aux matchs de barrage après une saison en demi-teinte ponctuée de six défaites et dix victoires. Un rendement qui leur avait permis de prendre la deuxième place de la conférence sud-africaine avant d’être finalement éliminés par les Crusaders sur le score de 23-18, avec notamment un essai de Potgieter.
Cette année, ils semblent bien décidés à aller plus loin et à pourquoi pas remporter pour la quatrième fois le championnat des clubs de l’hémisphère sud. Eux qui, entre 2007 et 2010, avaient connu des années fastes avec trois titres. En 2007, ils avaient notamment établi un record en disposant des Reds lors des phases finales par le plus grand écart de points (89) enregistré en Super Rugby, pour un score ahurissant de 92 à 3. Ils avaient aussi impressionné en 2009 lors de la finale du Super 15 en écrasant les Chiefs 61 à 17. Ce chant guerrier devrait sans doute les remettre sur le chemin du succès.
Louis-Marie
C'est excellent, il y a de vrais talents en plus !!!Comme quoi, les chants dans les douches durant l'après-match, ça a du bon !