RESUME VIDEO. Coupe du monde. Les All Blacks sur le toit du monde après leur victoire sur l'Australie en finale
Les All Blacks dominent l'Australie en finale de la Coupe du monde.
Ce samedi 31 octobre à Twickenham, les All Blacks sont rentrés une fois de plus dans l'histoire en dominant l'Australie en finale de la Coupe du monde.
Jamais une équipe n'avait conservé son titre. Jamais une nation n'avait remporté trois fois la Coupe du monde. Jamais les All Blacks n'avaient été sacrés en-dehors de la Nouvelle-Zélande. Ce samedi 31 octobre à Twickenham, Richie McCaw et ses coéquipiers sont rentrés une fois de plus dans l'histoire en dominant l'Australie en finale (34-17). Un résultat qui ne souffre aucune contestation tant les hommes de Steve Hansen ont dominé cette rencontre. Et si les Wallabies ont maintenu le suspense en marquant à deux reprises dans le second acte par David Pocock (52e) et Tevita Kuridrani (63e), cette victoire ne pouvait leur échapper.

Les Néo-Zélandais ont annoncé la couleur dès l'entame en imposant leur densité physiquement et leur vivacité à la seule qui les avait battu cette année. Laquelle n'a pas vu le ballon de toute la première mi-temps. Les Wallabies se sont, en effet, contenté de défendre, et qui plus est mal, avec 17 plaquages manqués. Il a cependant fallu attendre la fin du première acte et le début du second pour voir les Blacks prendre le large grâce à Nehe Milner-Skudder (38e), servi de manière idéale petit côté après un sublime enchaînement de passes, et Ma'a Nonu (41e) à la faveur d'une course de 40 mètres dans la défense. Aux commentaires, Bernard Laporte en a d'ailleurs mouillé sa culotte. On n'imagine pas la réaction de Mourad Boudjellal.

Le match en main (21-3) mais réduits à 14, les Kiwis ont ensuite fait le dos rond durant près d'un quart d'heure avant d'accélérer à nouveau avec notamment un drop Wilkinsoniesque de Carter à la 70e. Les Australiens ont eu l'occasion de revenir dans le match avec notamment de belles inspirations de Drew Mitchell, mais l'ailier du RCT a plusieurs fois laissé échapper le cuir sous la pression défensive adverse. Laquelle a fini par déboucher sur un essai de Beauden Barrett (78e), tout juste entré, après une course 50m et un dribbling parfait. Le coup de grâce.

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Beauden Barrett possède l'une des foulées les plus raffinées de la planète rugby, même s'il était frais il a une vitesse de course incroyable, il ne donne pas l'impression de forcer

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