Ces derniers temps, le monde du rugby est déchiré entre deux écoles : le Top 14, la Premiership et la Celtic League, compétitions où règnent le jeu dur à l'ancienne, le ruck, la mêlée écroulée 9 fois d'affilée, la vaseline pour arrêter les saignements... Un sport d'hommes, de vrais.
L'autre école est celle du SupeRugby (et le rugby de l'hémisphère sud en général), qui lui est surtout réputé pour son jeu léché, ses essais de 100 mètres et plus, ses croisées, ses redoublées, ses chisteras, son jeu après-contact... Bref, vous voyez de quoi on parle.
Sauf que quelques fois, des actions de poètes façon bûcheron écossais du West Lothian surgissent au milieu de ce jeu de presque-touch pour fillettes. Et c'est la mode en ce moment, les plaquagesde bonho... dangereux sont de mise dans le monde entier, même au pays des aborigènes musclés, huilés et tatoués. On va voir ça tout de suite.
Il y a peu, c'est le trois-quarts des Waratahs Rob Horne qui s'est occupé de la découpe (un salut amical aux confrères de la Boucherie Ovalie au passage). La balle est aux Rebels, et sur une mauvaise passe de ce bon vieux Danny Cipriani à son arrière Kurtley Beale, Horne fait défier à son vis-à-vis les lois universelles de la gravité chères à Isaac Newton.
Voici la politesse en images :
Résultat : un carton jaune pour Horne, rien de méchant pour Heale, et une séquence qui a tourné en boucle sur toutes les télés australiennes.
L'autre école est celle du SupeRugby (et le rugby de l'hémisphère sud en général), qui lui est surtout réputé pour son jeu léché, ses essais de 100 mètres et plus, ses croisées, ses redoublées, ses chisteras, son jeu après-contact... Bref, vous voyez de quoi on parle.
Sauf que quelques fois, des actions de poètes façon bûcheron écossais du West Lothian surgissent au milieu de ce jeu de presque-touch pour fillettes. Et c'est la mode en ce moment, les plaquages
Il y a peu, c'est le trois-quarts des Waratahs Rob Horne qui s'est occupé de la découpe (un salut amical aux confrères de la Boucherie Ovalie au passage). La balle est aux Rebels, et sur une mauvaise passe de ce bon vieux Danny Cipriani à son arrière Kurtley Beale, Horne fait défier à son vis-à-vis les lois universelles de la gravité chères à Isaac Newton.
Voici la politesse en images :
Résultat : un carton jaune pour Horne, rien de méchant pour Heale, et une séquence qui a tourné en boucle sur toutes les télés australiennes.
théo
tout a fait d'accord avec toi, il n'y aucun danger pour beale sur ce plaquage, carton jaune parce que ca aurait pu être dangereux mais arretez de déconner avec le carton rouge, bientôt on jouera à toucher si on vous écoute
bzh
je vois pas ce qu'il a de grave ce plaquage... il le ne le fait pas tomber sur la tete ou la nuque, il tombe allongé de meme pas un metre. Ok il aurait pas du le lacher. mais n'abusons pas non plus. et pour "Lapeya" je pense qu'a ce niveau ce n'est pas une histoire de manque de technique ou de maitrise..
lapeya
Au regard de ce type de plaquage, j'estime qu'il n'est pas maitrisé tout d'abord puisque le plaqueur ne propose qu'une percussion sans etre lié au plaqué. De plus il lache purement le plaqué aprés l'avoir basculé au dessus de ses epaules bref un manque evident de maitrise et de technique largement suffisants pour mettre en danger le plaqué ce qui aurai du justifier un carton rouge...
bouffon81
placage magistral c'est ce qu'on appelait pas de voyage a vide, le seul problème c'est qu'il le lache donc rouge normalement
FDB
Un rouge n'aurait pas été de trop.
stephane.labertit
C'est un abruti ce Horne ! Il fallait lui mettre le rouge !