Comme chaque année, le Tournoi des 6 Nations est l’occasion pour tous les amoureux de notre sport de vibrer au moment des hymnes. Ce moment solennel, émouvant (et ce n’est pas Yannick Nyanga qui dira le contraire), où tout un peuple reprend ensemble quelques couplets rend magiques les avants-matchs de notre chère compétition. Qu’on préfère God Save The Queen, l’Ireland’s Call ou notre chère Marseillaise, l’hymne écossais Flower of Scotland ne laisse personne indifférent.
un jour je le vivrai en live pic.twitter.com/iUWoLmN3bZ
— Philippe (@philousports) 4 février 2017
Et depuis quelques années il est encore plus facile d’aimer l’hymne d’une équipe agréable à voir jouer et qui ne représente pas vraiment une menace. Néanmoins, les coéquipiers de Greig Laidlaw ont désormais pris l’habitude de gagner. Après une Coupe du Monde réussie et passé tout proche d’une demi-finale, le XV du Chardon s’est notamment offert la France et l’Argentine en 2016. Et il a apparemment décidé de commencer 2017 de la meilleure des façons en battant des Irlandais qui avaient de grandes ambitions pour ce tournoi.
Après une première mi-temps de grande qualité, menée par un Stuart Hogg des grands jours, l’Ecosse virait largement en tête à la pause (21-8). C’était sans compter sur le réveil irlandais. Revenus quasiment à hauteur (24-22) et dominant en possession et occupation, on avait ce sentiment de déjà-vu pour des Ecossais connus comme de « magnifiques perdants », comme pour son coach, Vern Cotter. L'ancien entraîneur de Clermont (justement…) arrêtera en fin de saison pour rejoindre Montpellier. Mais le match s’est terminé différemment. L’Ecosse récoltait une ultime pénalité, synonyme de victoire sur les joueurs du Trèfle (27-22), la première depuis 2013, à Murrayfield déjà (12-8). Alors que Laidlaw n’avait pas encore tapé sa pénalité, c’est toute l’enceinte d’Edimbourg qui s’est unie pour entonner ensemble, a capella, Flower of Scotland à en donner la chair de poule.
Le Flower of Scotland vibrant de Murrayfield sur le but réussi par Greig Laidlaw, qui scelle la victoire de l'Ecosse sur l'Irlande pic.twitter.com/JSYTW5nJ8T
— Aurelien Bouisset (@Aurelebouisset) 4 février 2017
Tournoi des 6 Nations 2017 : les 5 points de la victoire de l'Ecosse face à l'Irlande
fred-eric2
Juste comme ça, mais le Flower of Scotland n'est pas l'hymne national de l'Ecosse
oZbeck
je savais pas merci 😉
Kannon-Shadow
Effectivement, l'Ecosse na pas d'hymne officiel. Flowers of Scotland est plus un chant traditionnel populaire. Mais on s'en fout en fait non ? L'émotion dégagée et la ferveur à travers les chants de Murrayfield c'est toujours une source inépuisable de frisson 😃
straits
Ils ne peuvent décidément pas rester dans le royaume britannique ces gens là..
Trop sympas et ils chantent trop bien !
Come on Nicola, ! F... Theresa & the Queen 🙂
BramaÏre
Effectivement, puisqu'on attaque les sujets de fond, çà aurait quand meme été un peu con qu'ils chantent " Tata Yoyo" non ?????
CEVEN
Toutafé, tout autant que le "Curé de Camaret".
Merci @BramaÏre pour ce recentrage.
mimi12
Un grand chelem écossais cela aurait de la gueule !
charly le vrai
Comme une Marseillaise au stdf. ..
Kadova
Deja fait contre le Pays de Galles il y a qq annees.
Compte supprimé
Si je peux me permettre, article ni fait ni à faire...
Sujet bateau... Texte saturé de formules toutes faites et de clichés... C'en est grotesque. Et, surtout, d'innombrables fautes d'orthographe et de syntaxe...
- "rend magiqueS les avants-matchs"
- "God save the Queen"
- "Et depuis quelques années il est encore plus facile d’aimer l’hymne d’une équipe agréable à voir jouer et qui ne représente pas vraiment une menace, les coéquipiers de Greig Laidlaw ont désormais pris l’habitude de gagner." : syntaxe WTF
- "menéE par un Stuart Hogg des grands jours, l’Ecosse"
- "Revenus quasiment à hauteur (24-22) et dominant en possession et occupation, on avait ce sentiment de déjà-vu pour des Ecossais connus comme de « magnifiques perdants », comme pour LEUR coach, Vern Cotter, ancien de Clermont (justement…), qui arrêtera en fin de saison pour rejoindre Montpellier." : re-syntaxe WTF
- "c’est toute l’enceinte d’Edimbourg qui s’est uniE"
Non, vraiment, y a pas grand-chose à sauver de cet enfilage de perles mal foutues.
M. Valverde, vous êtes condamné à rester pendant deux heures dans un vestiaire où deux joueurs de cornemuse souffleront comme des damnés dans leur instrument et écraseront avec fureur leur sac sous le bras. Tae think again !
noComment
sans oublier la faute grandiose dès le début " une pénalité qui cèlera la victoire "
la confusion terrrrrrrrrrrrible entre le " sceller " marquer du sceau ( le plus noble ) et le verbe celer très utilisé vers 1600 pour signifier masquer !
Comme quoi il ne suffit pas d'aligner les formules et les poncifs
pour en faire de beaux colliers de perles !
Je propose comme châtiment complémentaire le devoir manger seul un haggis pendant que les cornemuses ...
Compte supprimé
N'en jetez plus ! Après, le rédacteur va dire qu'on le harscelle !!
Et sinon, c'est bon, un bon haggis avec de la purée ! Miam !
François Valverde
Au contraire, j'ai pu corriger tout ça. J'ai déjà demandé à deux amis écossais de venir équipés pour subir ma punition!
Le Concombre Masqué
En même temps, avec un nom pareil, cela tombait sous le sens que cet article finirait en roue libre...