Ce samedi l'équipe de France défie l'Australie (20h45 en direct sur Eurosport et France 4) dans ce qui est un véritable quart de finale de la Coupe du monde de rugby féminin. Un match décisif que les Bleues ont préparé avec tout autant de sérieux que les deux premiers en révisant les dispositifs tactiques et autres automatiques, sans oublier les touches. Un des points forts des Tricolores face aux Galloises et aux Sud-Africaines qui devrait être testé contre les Australiennes. Les Françaises ont également profité d'une journée off pour tenter d'évacuer un peu la pression liée à cette rencontre ultra importante pour la suite de leur parcours dans ce mondial. Une nécessité car si les Bleues avaient espéré une plus grande reconnaissance grâce à l'organisation de cette Coupe du monde en France, elles ne s'attendaient à voir autant de supporters à leurs matchs et surtout de journalistes pour reporter leurs performances. « C'est la grosse surprise. C'est juste énorme, fantastique même, » confie Sandrine Agricole. Même son de cloche chez la capitaine Gaëlle Mignot : « On ne l'avait pas anticipé. On s'était un petit peu préparé. On espérait un tel engouement. C'est quelque chose que l'on découvre jour après jour. On reçoit des cartes postales de gens qu'on ne connaît pas. Ce sont des petites attentions qui font plaisir ».
De son côté, la jeune ailière Marion Lièvre avait hâte que l'équipe de France soit reconnue à sa juste valeur après tous les efforts et les sacrifices que ces joueuses non-professionnelles ont faits depuis des années : « On attendait juste que les médias viennent vers nous. Mais on n'a tellement pas l'habitude. C'est particulier. On est juste heureuses de pouvoir enfin partager notre pratique du rugby. » L'expérimentée Sandrine Agricole espère cependant que cela ne va pas s'essouffler après la compétition. « À nous de faire en sorte que ça reste pérenne même après cette Coupe du monde. Et ça passera par des résultats. » Malgré tous les points presse et les entraînements, les joueuses n'oublient pas leur petit rituel d'avant-match. Un moment particulier loin des médias où elles peuvent se retrouver entre filles pour se préparer tranquillement.
Crédit vidéo : FFR
De son côté, la jeune ailière Marion Lièvre avait hâte que l'équipe de France soit reconnue à sa juste valeur après tous les efforts et les sacrifices que ces joueuses non-professionnelles ont faits depuis des années : « On attendait juste que les médias viennent vers nous. Mais on n'a tellement pas l'habitude. C'est particulier. On est juste heureuses de pouvoir enfin partager notre pratique du rugby. » L'expérimentée Sandrine Agricole espère cependant que cela ne va pas s'essouffler après la compétition. « À nous de faire en sorte que ça reste pérenne même après cette Coupe du monde. Et ça passera par des résultats. » Malgré tous les points presse et les entraînements, les joueuses n'oublient pas leur petit rituel d'avant-match. Un moment particulier loin des médias où elles peuvent se retrouver entre filles pour se préparer tranquillement.
Crédit vidéo : FFR
ced
en même temps si elles devaient me faire des tresses ça serait beaucoup plus compliqué (ou rapide)
Loyam
Vidéo sympa, même si plutôt courte. Moins de deux minutes.
Après, nous voyons qu'elles s'entendent bien. Qu'elles sont assez complices.
Attitude assez basique, normale, pour un sport co et lors d'un évènement aussi important qu'une coupe du monde. Ne se vivant que tous les quatre ans.
Et puis, je doute aussi, que la fédération française de rugby souhaite nous montrer un aspect individuel à égoïste, en tout point négatif, durant une promotion.