Les rencontres entre la France et l'Irlande ont toujours eu une saveur particulière. Après une très forte période de domination bleue depuis les années 80, le Trèfle a retrouvé de sa superbe. En a résulté deux matchs nuls consécutifs (17-17 en 2012, 13-13 en 2013) puis un succès probant mais une nouvelle fois serré des Irlandais l'an passé au Stade de France (20-22) pour s'adjuger la victoire finale dans le Tournoi des 6 nations. Une série d'affrontement qui nous fait dire que l'on pourrait à nouveau assister à une partie disputée, et ce, en dépit des difficultés actuelles du XV de France et du statut de favori des verts dans cette compétition. Le fait que l'équipe d'Irlande ait très peu évolué depuis un an (contrairement à son adversaire) renforce cette impression. Du côté français, c'est encore une fois cette position d'outsider en détresse qui rend ce XV de France imprévisible même si seulement cinq joueurs titulaires ce samedi l'étaient en 2014.
À cette époque, l'équipe emmenée par Pascal Papé avait (déjà) des choses à prouver après une victoire à l'arrachée contre l'Angleterre, un sérieux revers au Pays de Galles et une victoire sans briller en Écosse. Face à un adversaire qui jouait le titre, les Bleus avaient réalisé une bonne entame, Machenaud récompensant leurs efforts au pied, avant de connaître un trou d'air à la 20e minute. Punis par Sexton puis Trimble (25e), ils avaient tout de même réussi à reprendre l'avantage avant la pause grâce au très bel essai de Dulin servi par Huget (MT, 13-12). L'entame du second acte s'était cependant révélée cruciale pour l'Irlande alors que Sexton réussissait un triplé sauce rugby avec un essai transformé par ses soins et une pénalité en l'espace de cinq minutes pour mettre le siens à l'abri d'un essai transformé.
Ce jour-là, Mathieu Bastareaud avait été impérial (85 mètres parcourus, 6 défenseurs battus), mais le XV de France avait peiné à trouver le chemin de la terre promise. C'est finalement un Szarzewski ensanglanté (62e) qui avait redonné espoir à la France (20-22). Réalisant leur plus beau match du Tournoi, malgré un nombre élevé de ballon perdus (18 turnovers !), les Tricolores avaient continué de pousser jusque dans les ultimes instants de cette partie. Mais la passe jugée en-avant de Pascal Papé pour Chouly en bout de ligne après un mouvement d'envergure avait annihilé leurs espoirs de succès à domicile.
Crédit vidéo : RBS 6 Nations
À cette époque, l'équipe emmenée par Pascal Papé avait (déjà) des choses à prouver après une victoire à l'arrachée contre l'Angleterre, un sérieux revers au Pays de Galles et une victoire sans briller en Écosse. Face à un adversaire qui jouait le titre, les Bleus avaient réalisé une bonne entame, Machenaud récompensant leurs efforts au pied, avant de connaître un trou d'air à la 20e minute. Punis par Sexton puis Trimble (25e), ils avaient tout de même réussi à reprendre l'avantage avant la pause grâce au très bel essai de Dulin servi par Huget (MT, 13-12). L'entame du second acte s'était cependant révélée cruciale pour l'Irlande alors que Sexton réussissait un triplé sauce rugby avec un essai transformé par ses soins et une pénalité en l'espace de cinq minutes pour mettre le siens à l'abri d'un essai transformé.
Ce jour-là, Mathieu Bastareaud avait été impérial (85 mètres parcourus, 6 défenseurs battus), mais le XV de France avait peiné à trouver le chemin de la terre promise. C'est finalement un Szarzewski ensanglanté (62e) qui avait redonné espoir à la France (20-22). Réalisant leur plus beau match du Tournoi, malgré un nombre élevé de ballon perdus (18 turnovers !), les Tricolores avaient continué de pousser jusque dans les ultimes instants de cette partie. Mais la passe jugée en-avant de Pascal Papé pour Chouly en bout de ligne après un mouvement d'envergure avait annihilé leurs espoirs de succès à domicile.
Crédit vidéo : RBS 6 Nations
Yonolan
un gout de déjà vu...
henjak
le scénario se repete
noComment
les 3 essais irlandais correspondent à un irlandais qui sur les appuis trompe totalement un français
et ils étaient pas dans leur jardin!!
j'ai peu d'espoir pour demain
BoBoB
Papé avait fait une passe???????
Ouf, c'était un en avant, ça compte pas donc. Sinon il aurait fallu ajouter une ligne sur sa page de stat. Du travail en plus. Déjà qu'en ce moment il a du mal avec celui qu'on attend de lui 🙂
Fin de l'instant mesquin 🙂
Chronicoeur31
je ne me souvenais plus qu'on perdait sr une pénalité facile ratée par Doussain :/
a part ça, on voit clairement la les plaquage manqué successivement par Bastareaud Medard et Tales (ou Machenaud ?) sur les 3 essaies Irlandais....
K\'p\'taine Haddock
N'empeche, ce tournoi aura démontré UNE chose: Papé n'est pas fait pour passer le ballon !
thiboo
"Il a touché le poteau!!"
Black7Eagle
"Seduit" : il faut savoir se contenter de peu 🙂
Sinon sur le premier essai des Irlandais, l'arbitre siffle jamais la penalte sur la faute au sol ah ah
ogoshiste
Heureusement qu'il y a eu le hold up sur les anglais !!!
Je trouve le terme "séduit" beaucoup trop fort...il est vrai que les français reviennent à chaque fois, mais on subit tout le temps du match. Le titre aurait du être " la france subit et perd contre l'Irlande" !!!
Grand Sachem aux sages commentaires
Une passe en avant de Papé... Forestier pourrait-il lui prêter ses mitaines ?